catamaran niveau 3

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ACM le spécialiste de la formation 100% CATA

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ACM CATA 269 rue du 11 novembre 1918 69620 le Bois d'oings

Une formation Catamaran avec ACM ?

Chez ACM nous organisons des stages d ’apprentissage de la navigation à la voile sur catamaran de croisière. Nos formations sont ouvertes à tous et partent du port du Gapeau ( Hyères – Méditerranée ). Elles sont affiliées à la FFV et labellisées école de croisière . Notre objectif final est de vous amener à devenir autonome en tant que chef de bord .

Ce sont plusieurs niveaux de formation par domaine de compétence :

Nous insistons sur le fait que nos formations catamaran s’adressent à toutes personnes ayant le souhait d’apprendre à naviguer sur un catamaran. Aucune expérience préalable n’est requise pour commencer le cursus.

Nous avons 4 niveaux + 1 stage de certification chef de bord : 1 Initiation / 2 Perfectionnement / 3 Evolution / 4 Chef de Quart / Chef de bord.

Chaque niveau aborde 5 domaines de compétences : manœuvres à la voile et au moteur / pilotage / sécurité / vie à bord / maintenance. Il est tout à fait possible d’intégrer un niveau supérieur si toutefois vous aviez déjà une expérience de la voile.

Pour connaître votre niveau, nos skippers ont mis en place un cursus pédagogique et une fiche d’auto-évaluation qui va vous permettre de situer votre niveau d’expérience. Afin d’obtenir ce questionnaire gratuitement vous pouvez directement nous contacter à [email protected] .

A partir du niveau 3 vous disposerez d’un début d’autonomie vous permettant de réaliser une première location chez ACM Catamaran, avec un bateau du même gabarit et dans la même zone de navigation . Nous vous recommandons de revenir ensuite sur un stage de niveau 4 afin d’atteindre le niveau chef de quart et de pouvoir naviguer sur d’autres bassins (Corse, Caraïbes…).  

« J’avais déjà quelques années d’expérience en mer sur mon monocoque. Le fait d’avoir validé officiellement mon niveau 3 FFV sur catamaran, j’ai pu en toute sérénité louer mon premier catamaran pour partir naviguer avec ma famille autour des îles d’Hyères, et les projets futurs ne manquent pas ! ». Commentaire de Jean-Paul, parti en stage Equipage avec ACM en 2019

Ce sont des formations catamaran affiliées FFV :

En tant qu’école de croisière affilié à la FFV vous recevrez en fin de stage un livret de plaisance . Il sera validé et tamponné par votre skipper formateur. Il vous servira à :

• justifier de vos formations pour vos prochains stages ou vos prochaines locations.
• suivre votre progression et valider votre autonomie.
• indiquer vos différentes expériences en mer (CV Nautique).

Nos formations catamaran sont dispensées par des moniteurs diplômés d’Etat. Ils possédant une carte professionnelle délivrée par la Direction de la Jeunesse et des Sports. Ils vous transmettront leur passion de la voile.

C’est aussi une formation théorique :

Afin de compléter votre formation pratique, vous bénéficiez, à bord, de la formation théorique en ligne Ocean Skills sous forme de vidéos commentées et enrichies de schémas graphiques et fiches synthèse. Votre skipper formateur s’appuiera de ces vidéos pour vous faire réviser des apprentissages, valider des connaissances. Vous avez la possibilité de souscrire à une licence Ocean Skills, via ACM Catamaran, afin de bénéficier de cette plateforme depuis chez vous avant et après votre stage.

Ce sont plusieurs formules pour un accompagnement sur-mesure :

A chaque projet de formation catamaran, une formule adaptée !

Formule Equipage :

Stage à la cabine en petit groupe de maximum 5 personnes accompagnées de votre skipper.   Nos stages ont lieu de mars à début juillet et de fin août à novembre. Ils se déroulent le plus souvent sur un Lagoon 380, catamaran véloce et idéal pour l’apprentissage.

Nous proposons des Stages semaine et weekend :

• stages de niveau 1 et 2 en 5 jours de formation
• stages de niveau 3 à 5 en 7 jours de formation

Vous disposez de peu de temps et vous souhaitez vous former. Vous pouvez découvrir le catamaran ou approfondir vos connaissances grâce à 4 formules de stages weekend : découverte, perfectionnement, Weather 4D, Manœuvres. Organisation clef en main : ACM se charge de l’organisation de A à Z de votre stage.

Prestations comprises dans le tarif du stage : Avitaillement (pension complète), nettoyage du bateau, literie complète, assurance FFV, 3 mois de formation théorique.

Cabine privative : Pour plus de confort vous bénéficiez d’une cabine par personne. Si vous vous inscrivez à 2 personnes vous aurez une remise de 10% pour la seconde personne en cabine partagée.

« Grâce aux interactions avec les autres membres, La formule Equipage est très enrichissante. En effet elle permet aux stagiaires d’échanger sur leurs expériences et connaissances quel que soit leur parcours». L’avis d’Antoine, skipper ACM Catamaran.

Formule Exclusive :

Cette formule vous permet de privatiser un bateau avec skipper/formateur . Ainsi vous bénéficiez d’une formation sur-mesure et à votre rythme. Vous pouvez louer seul ou à plusieurs. Et vous avez également le choix de la durée de location (selon la disponibilité des bateaux).

Comment ça se passe ? : Vous louez le catamaran de votre choix dans la flotte ACM et disposez d’un skipper formateur rien que pour vous ! Vous pouvez louer seul ou à plusieurs. Ainsi, couplez de la formation et des vacances en famille ou entre amis ! Selon l’implication que vous mettrez dans votre formation vous pourrez valider un niveau 1 et 2 en 7 jours. Pour un niveau 3 et 4 il faudra 10 jours et 15 jours pour un niveau 1-2 et 3.

Lors de la première demi-journée, un bilan de vos connaissances est réalisé afin d’évaluer votre niveau. Et en fonction de vos objectifs, vous mettrez en place un suivi pédagogique parfaitement adapté à vos attentes.

« Alliez vacances en famille et formation nous a permis de réaliser ce projet ensemble avec mon épouse. Nous souhaitions nous former tous les 2 à la voile. L ’idée que nos enfants nous accompagnent nous semblaient être l’opportunité de leur offrir de belles vacances en mer ! » Edouard, en formation exclusive été 2021 

Retrouvez toutes nos dates de stage Equipage sur notre planning prévisionnel : https://acm-cata.com/calendrier-stages-acm-cata/

Et notre flotte de catamarans pour une location exclusive : https://acm-cata.com/la-location-acm/

Qu'est-ce que vous pouvez lire ensuite

Le catamaran Windelo 54 Yachting, une expérience inédite !

Le chantier Windelo, des catamarans éco-conçus

2 commentaires to “ une formation catamaran avec acm ”.

bonjour avez vous des tarif ???

Bonjour Pascal, Je vous envoie un mail avec l’ensemble de nos tarifs. Merci pour votre retour.

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Ecole de voile : évaluez votre niveau !

Vous souhaitez vous inscrire à une sortie ou stage de l’école de voile et hésitez sur votre niveau ? La carte de progression FFV est faite pour vous (cliquez ici ou voir ci-dessous) ! Cinq niveaux de pratique allant des 1ers bords de l’apprenti équipier, à la maîtrise du chef de bord, qui vous permetterons de confronter votre projet de navigation aux acquis nécessaires pour le réaliser. Chaque niveau comporte trois grandes thématiques : technique, sécurité, sens marin – environnement. 

Comment utiliser concrètement la carte de progression : 1 – Repérez le pictogramme “habitable” sur la carte de progression (à distinguer de dériveur, planche à voile, catamaran) 2 – Lisez les actions correspondant à chaque niveau : si vous savez toutes les exécuter sans vous poser de questions, le niveau est acquis ! Si certaines sont floues, voire inconnues, alors vous mesurez le chemin qu’il vous reste à parcourir pour atteindre le prochain niveau… 3 – Regardez dans le tableau ci-dessous les stages qui vous correspondent le mieux ! 4 – N’hésitez pas à nous consulter directement par mail, téléphone ou en venant au club, nos moniteurs brevetés d’Etat sont là pour vous accompagner !

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Voile Catamaran Niveau 3

Voile catamaran, choisissez votre niveau en découvrant ce qu'il inclut (profil et objectifs) quel que soit votre niveau, nous avons une formation dédiée .

Gagnez en autonomie !

Vous êtes polyvalent sur tous les postes. Vous souhaitez maintenant évoluer pour   prendre en main l’organisation des manœuvres   mais aussi de nouvelles responsabilités comme  la navigation, la sécurité sur un plan d’eau connu  et ceci dans le but de louer un bateau, voire d’en acheter un !   Ce niveau est fait pour vous.

A la fin de cette formation, vous maîtriserez

• La préparation d’un programme de navigation en équipage
• Les risques d’abordage
• La localisation et le contrôle des équipements de sécurité
• Le calcul des marées par la méthode des douzièmes et son utilisation en navigation
• Utilisation de la VHF
• Les tâches à bord selon les différents postes
• La localisation de votre catamaran sur une carte
• L’anticipation les difficultés d’un appareillage et d’un accostage 
• La prise et le lâché de ris, la récupération d’un homme à la mer
• L’ajustage de la voilure – Vrillage et Creux
• Virer de bord et Empanner en performance
• Gréer et hisser le Gennaker ou le Spi asymétrique
• Empanner le Gennaker ou le Spi asymtrique
• Affaler le Gennaker ou le Spi asymétrique
• Tenir le journal de bord
• Les feux de navigation et les feux de nuit
• L’arrêt du catamaran avec la mise à la cape et la technique de la ralingue
• La technique des bords de cadre au près et au portant
• L’anticipation de la position finale et de l’évitement de votre catamaran lors d’un mouillage

ÉCONOMISEZ près de 40% sur chaque formation achetée et ACCÉDEZ à vos contenus pendant toute la durée de votre adhésion (12 mois et plus..).

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Stages Glénans, qui l'a fait ?

Bon, je me lance. Comme j'ai un pêche promenade et que la voile m'attire +++ (cf mes anciens fils), je vais faire un stage au glénans en 2007, histoire de conforter mon futur choix. Je pense prendre l'option croisiere, stage d'une semaine dans lequel on couche dans le bateau et escale le soir dans un port différent. Qui l'a fait, comment c'était? je pense que c'est indispensable, vu mon expérience quasi nulle (sauf biloup). D'ailleurs au 1000 sabord, j'éatais ravi, car je m'étais focalisé (en rève) sur l'idylle 8.80, et j'ai pu le visiter... Ouf, car je ne tiens pas debout dedans (1m80 et c'est capital pour moi) et un peu juste pour ma femme et mes trois enfants (8,11 et 14 ans). Sinon, sur lorient, si vous avez besoin d'un mousse de 50 balais bien sympa... qu'en pensez vous ?

2 fois, mais des autres J'en ai fait 2 mais les stages Equinoxe. L'instructeur, l'équipage influencent beaucoup sur la qualité, mais avant tout le concept Glénans est bien rôdé.

Contrairement aux rumeurs, les Glénans ont évolué, on ne rentre plus au port à la voile à 4h du mat, on apprend à se servir d'un GPS après qu'on ai prouvé être capable de faire le point sans electricité (varie selon les instructeurs). Mais ça reste une école de voile et non le club med. On bosse beaucoup pour apprendre beaucoup (règlages, navigation, sécurité, vie à bord, manoeuvres).

Je continuerai d'en faire de temps à autre, l'avantage c'est que la proportion de tousistes à bord est faible, on se trouve en général avec un majorité de personnes "qui en veulent" donc déjà à la base des bonnes naves.

Bien sûr, on voit de temps en temps un individu, un groupe, un monitor débarquer et dire que "cette fois c'était nul", mais franchement, est-ce que toutes vos croisières ont toujours été idylliques ? Donc il y aura forcément des avis moins positifs.

Tout pareil !!! :-) Stage 14 jours dont 7 à Paimpol et 7 de croisiere il y a 4 ans. Un peu scout, mais techniquement parfait. Comme dit Zygomar, ça dépend evidemment de tes co-stagiaires , mais c'est vrai de tout embarquement. Comme il y avait une flotille de 3 bateaux, on dormait toujours avec les mêmes (4 par ship) mais dans la journée on tournait, dont pas trop de frictions. Nous l'avons fait en couple, on va y retourner surement l'année prochaine pour continuer à apprendre.

Un point négatif : La tartiflette "Special Glénans" en cocotte pression : à éviter d'oublier sur le feu quand on rentre de nuit (2heures du mat) à Paimpol. je crois que l'écluse sent encore le cramé!!!! :-D

pourquoi pas le GMC ?

Je connais un peu les Glénan, mais le côté militaire du genre capeler harnais et brassière pour descendre dans l'annexe par F2 au mouillage, m'insupporte. Une bonne école également, mais moins rigide : le Groupe Morbihannais de Croisière ( petite structure ).

bonne formule J'ai fais plusieurs stages aux glénans 3 et 4 voiles et dans plusieurs bases mais à des periodes dites "hors saison" (Octobre Novembre février avril). Bonne pioche à chaque fois... Si on y va pour apprendre et naviguer, on est bien servi.

1 foie je l'ai fais 1 foie...en 11.5 jours..

j'ai trouvais ça exelent on était sur un océanis 411 en méditéranée...départ de la base de marseillan on est allé a Rosas (Espagne)..on aurait du aller a Barcelone mais la GV c'est déchiré...et ouai ya certaine fille qui avent pas empaner :-p

Donc c'est une formule que je pence que je vais refaire cet été !!

tres satisfait! J'ai fait pas mal de stage (Paimpol+archipel) et je n'ai pas grand chose à rajouter surles avantages et inconvénients des Glénans. Mais je me souviens qu'après un 1er stage de 15jours (1 semaine à terre et 1 semaine embarquée), j'avais déjà toutes les grandes bases. Les autres stages ne m'ont pas appris bcp plus (techniquement), mais ils m'ont apporté l'expérience. Enfin, même si c'est parfois un peu boy-scout, j'ai bcp apprécié que ces stages transmettent aussi un certain etat d'esprit (respect de la mer, des marins, humilité etc...) mais ca dépend sans doute des moniteurs Vincent

Nickel parfait! Comme la plupart des précédents gléneux, j'ai fait pour l'instant deux stages "hors saison" cette année. "Azur" en Avril à Concarneau (1 voile) puis "4 vents" (3 voiles thème manoeuvre) fin Octobre 2006.

Le stage d'Avril a été encadré par un moniteur permanent des Glénans (par opposition aux bénévoles) et ce mec déchirait tout en matière de technicité et de pédagogie. C'est probablement, tous sports à risque confondus que j'ai pu pratiquer, le meilleur moniteur que j'ai rencontré.

Effectivement, le système Glénans est très bien rodé et je le trouve très adapté pour celles et ceux qui viennent "apprendre". On n'est pas exactement en vacances (au sens de la glande) et la dimension technique est très présente. On en sort avec l'impression d'avoir appris comment fonctionne un voilier, comment régler ses voiles, comment changer de garde robe, et c'est vrai que l'approche est assez "normative" (dont brassieres obligatoires mais je ne comprends toujours pas pourquoi ca gène, rangement du bateau, préparation des nav., faire le point toutes les X minutes avec un compas alors que le GPS est éteint, etc.). Néanmoins et quand on n'y connait rien - ce qui était/est mon cas - on en sort avec cette sensation d'avoir une idée plutôt précise de la gestion "technique" d'une sortie en mer.

Reste les variables: l'équipages et le moniteur. Hors saison, les stages sont moins remplis et les bateaux moins peuplés. Avantage: plus de truc à faire pour chacun. Au passage, ca souligne le fait que de partir aux Glenans en pleine saison sur une embarcation de 47 pieds pour 10 ou 11 personnes risque de ressembler plus à une croisière qu'à un stage technique parce qu'un virement de bord n'occupe que difficilement 11 personnes :)

Les moniteurs sont assez à l'écoute de ce qu'on veut y faire et TRES encadrés par leur hierarchie si bien qu'il y a peu, je pense, de "walous" et que la plupart essayent de faire un bon stage, tant pour l'appreciation des stagiaires que celle de la hierarchie.

Question "equipage", voir 3615 loto. Mais pour l'instant, et hormis la dimension "humaine", tous les stagiaires avec lesquels j'ai embarqué (en octobre on n'était que 2 stagiaires et 1 moniteur sur un Sun Fast 32i [-de-merde]) étaient des gens motivés pour naviguer et pour apprendre. La pluie ou la houle n'ont jamais bloqué le bateau au port, et seule la pétole fait vraiment ch*er!

A titre d'exemple, on est sorti tous les jours fin Octobre, avec du F7 puis F8 etabli. On a tenté à F9 mais comme on n'etait que 3, on a préféré rentrer :) Ce que je veux dire ici, c'est que lorsque le moniteur "sent" son équipage et que l'équipage semble avoir envie de manger de l'écoute, les sorties même musclées sont possibles, toujours sous la couverture d'un coup de fil quotidien au "chef" à la base.

Je me résume. On sort de ces stages avec AUCUNE expérience de la croisière "plaisance" (une preuve? il est interdit de boire l'apéro pendant qu'on navigue :)) mais avec une palette de "trucs techniques" courants et nécessaires et le catalogue donne toujours un stage nouveau pour se perfectionner ou visiter une nouvelle dimension de la voile (je "rêve" maintenant d'un stage de nav. sur la manche en plein hier, avec un gros coefficient et des dépressions bien creuses).

Excellente école de mer! J'y suis retournée chaque année pendant 10 ans, et je crois que j'ai fait tout ce qu'il était possible de faire à cette époque aux Glénans, depuis le stage d'initiation jusqu'à la course-croisière en passant par la croisière haute mer et l'encadrement...La dernière fois c'était il y a une dizaine d'années pour un stage de manoeuvres à l'Ile Verte dans l'archipel de Bréhat, suivi par une croisière 3 voiles (choisie en fonction des dates et du programme de navigation) autour de la Corse. J'ai eu des chefs de bord imbuvables, (par ex.interdit de se coiffer ou de couper du pain à l'intérieur à cause des cheveux ou des miettes...!!), j'en ai eu des plus sympas, mais toujours des marins éprouvés capables de communiquer leur passion et leurs connaissances . Le résultat est une formation à toute épreuve. Je n'ai jamais eu de bateau, mais ça fait 40 ans que je navigue sur les bateaux des autres et je n'ai jamais de problème pour trouver un embarquement aussi bien comme équipière que comme skipper. A mon avis, l'apprentissage à la dure est nécessaire, car la mer ne pardonne rien et si tu t'attends au pire, tu ne peux pas être déçu!

adolescent retardé J'ai commencé les glenans en 1975 pas de radio pas de moteur godille et voile pour rentrer au port.En 1999 j'ai décidé d'y retourné j'ai commencé par le 2 spis puis l'ambiance etait tres ado(pour une moyenne d'age de ~40 ans)mais j'ai trouve cela genial et j'ai continué en 2000 01 02 03, 2 fois par an 6.5 jours au printemps en mediterranée et autant en été mais en bretagne.L'ambiance toujours genial bien que chaque fois tres differente car toujours lié a l'équipage et au moniteur.Depuis 3 ans je loue avec ma femme et ma fille de 8 ans au printemps en mediterranée et en été en bretagne et je trouve que l'acquis des glenans comme base on ne peut pas faire mieux.

ça fait plaisir... ... de voir des gens qui passent par des écoles pour apprendre la voile. ;-)

Et pour la remarque de penloch sur le côté militaire des Glénans, il n'a pas du faire beaucoup d'armée pour se permettre cette comparaison.

De mon côté j'ai pratiqué les Glénans et + ... Et j'ai aussi joué de la trompette dans un orchestre. Si tu ne commences pas à jouer en même temps que tes petits camarades au moment où le "chef" d'orchestre te fait signe, c'est pas beau à écouter...

Et je compare plus souvent un chef de bord sur un voilier à un chef d'orchestre, et non pas à un adjudant de bataillon !

Parfait Bonjour,

J'y suis passé, c'est parfait et loin de l'image qui est parfois véhiculée : c'est jeune, dynamique et décontracté tout en respectant les règles de sécurité.

Cordialement

Les Glénans ! Je voudrais dire un merci à tous les contributeurs.

Ca fait 20 ans que je suis moniteur aux Glénans et ça fait très plaisir de lire autant d'éloges.

C'est sûr qu'avec environ 13.000 stagiaires par an et un bon millier de moniteur il est difficile d'avoir une satisfaction identique de la part des pratiquants , mais là , à vous lire , ça m'a fait vraiement très plaisir.

Et en 20 ans l'évolution a été aussi... ...significative que celle du GPS ou du téléphone portable...

Quand je vois des stages sur des Dufour 30 Classic, je repense à ceux que j'ai fait en Kelt 707 ou AD 700, et en "croisière côtière"... :-D

y a t il vraiment besoin d'un apprentissage du GPS losrqu'on sait faire sans rien

Une sècurté par la précision qui amène une prise de décision,levée de doute plus rapide

oui mais.... Les unités deviennent de plus en plus grandes et à 7 ou 8 équipiers par embarquement je pense que l'asso va peut étre perdre son identité à terme car pour occuper 7 équipiers méme si on sort par force 7/8 il y a de l'inaction pour certain

Ce que j'ai vu... ...il y a quelques jours à Sète : 3 équipiers et un cdb sur un Dufour 30 !

Quand même mieux que le même nombre sur un Kelt 707 il y a + de 30 ans.

Et j'ai aussi vu, au m^mee endroit et le même jour, 6 équipiers et le cdb sur un 35 classic, il y a 30 ans c'était pareil...

A chaque "stage" correspond son bateau !

oui mais 7 a 8 équipiers il y a aussi un probleme d'intendance il faut voir ce que sa mange et ce que sa boit quand on part faire l'avitaillement c'est 3 charriots remplient et puis la promiscuité et differente entre un equipage de 5 (dufour 30) et un un équipage de 8 (sun 32)mais ca m'empéche que vive les glénans et personnellement j'en garde des souvenirs extraordinaires et si l'occasion se presente je resigne mais j'ai gouté a la voile familliale qui est moins ambitieuse mais c'est le pied surtout en ayant une formation GLENAN

oui, mais non... Oui c'est bien pour toutes les raisons dites MAIS il me semble que passer une semaine (de nav' intensive, pas des vacances)à 6 dans 31 pieds est contreproductif en termes de rendement.On se marche dessus en permanence,impossible de visualiser une carte et faire une nav à plusieurs,tout juste possible de se reposer correctement,sans parler du cockpit/pont, ou encore de la capacité effective de la cambuse à faire bouffer correctement autant d'adultes.Qu'on me démontre aussi l'utilité, la vertu etc. de consacrer pratiquement toute la dernière journée d'un stage à (faire...) nettoyer le boat de fond en comble, y compris tous les panneaux de plancher démontés et sortis sur la panne, les vaigrages,contremoulages,coussins,matelas...limite arnaque,limite caserne,selon moi."Caserne" aussi des idées comme:"va donc vérifier si le bout d'étalingure de ligne de mouillage est bien en quadruple va-et-vient..." (autrement dit, vide d'abord tout le coffre arrière...).Ridicule, alors que l'on pourrait vérifier par une simple question s'il sait où se trouve l'étalingure en question... Globalement,je trouve ça RELATIVEMENT cher.Car moins rentable (en termes d'acquis individuels) qu'un stage de même niveau sur de plus gros bateaux avec moins de stagiaires,dans d'autres écoles.

Hervé... Je me permet de réagir.

Il faut choisir son stage, ça c'est certain. Perso, j'ai beaucoup apris en croisiere chez eux, il y a maintenant quelques années.

A chaque fois HORS SAISON! Pourquoi? Parce que hors saison, il y a moins de monde, et les conditions météos sont souvent plus variées et plus intéressantes pour apprendre.

Il faut éviter les gros bateaux (cata en med ou autre) si tu veux apprendre, il y aura trop de monde. Les glénans ont investis dans plusieurs Django (Pierre Rolland), un petit 7.5m qui me semblent de bons bateaux pour aprendre vite et bien.

Aux glénans, contrairement aux écoles classiques, même à 2 stagiaires + 1 moniteur, le bateau part pour une semaine! Et si le moniteur est bon, l'apprentissage est TRES efficace. J'ai vécu, j'ai apprécié.

Mais il est vrai que la qualité des moniteurs est très variée. En 6 stages (oui, ça fait beaucoup), j'en ai eu qui ne connaissaient pas tant de choses que ça, d'autres qui venaient là "en vacances gratuites", d'autres par contre qui avaient une vraie envie d'enseigner et de transmettre leur passion.

oui mais JE suis tellement content d'embarquer sur un bateau propre donc ca signifie que l'équipage anterieur l'avait nettoyé

je prétends savoir ce qu'est un bateau (déjà)propre... :-|

Sur les remarques d'herve 35 et d'autres: le remplissage par ex pour un 32 pieds est au maximum de 5 stagiaires + 1 moniteur. En dehors de la haute saison c'est rarement plein. Meme a 5 on arrive a s'occuper pas mal (1 a la naviguation, 1 a la barre, 2 aux manoeuvres, 1 de repos...).

Quant a la demi-journee de prise en main ou de retour du bateau, d'abord elle n'est pas si longue que ca, ensuite et surtout elle fait partie de l'apprentissage. Se salir les mains ca permet aussi de ne pas sombrer dans les discours theoriques, "une etalingure c'est un machin attache a l'ancre et au bateau...". Sans-doute connais tu tout ca, mais ca n'est pas le cas de tout le monde.

Enfin AMHA nettoyer les bateaux c'est un minimum d'hygiene pour des bateaux qui sortent 30 semaines par an!

Nettoyer sa merde Bonjour,

C'est un bon état d'esprit que de nettoyer sa merde. Je sais bien que beaucoup préfèrent que ce soit fait par d'autres petites mains. Il en est de la voile comme d'autres activités : une évolution vers le luxe et la perte du contact avec la réalité de l'activité elle-même qui a aussi ses servitudes et ses exigences. Sur le Queen-machin on peut même avoir ses pompes cirées et on ne pose pas de question sur les épissures non plus. C'est pourquoi j'ai apprécié les Glénans.

Cordialement.

Biodiversité ... L' apprentissage de la voile est comme tout le reste: il en faut pour tous les goûts.

Les "Glénan" sont un modèle intéressant et cohérent, mais forcément, il ne convient pas à tout le monde.

Donc il y a d'autres écoles, assez différentes, et il y a aussi l'apprentissage avec des amis ou la famille compétents.

On peut ajouter, globalement, plus on est âgé moins on apprécie le cadre que proposent les Glénan, et ce n'est pas du tout une critique. Bien sûr il y a des exceptions ;-)

Le plus important est de ne pas se tromper quand on choisi l'une des écoles, par rapport à son caractère personnel. Ou , disons, si on se trompe la première fois, de ne pas en déduire qu'on n'aime pas la navigation, simplement changer de style d'école la fois suivante.

Donc, pour Rico : faut essayer toi-même et voir après :reflechi:

4 ou 5 stages de differents niveaux , en Bretagne nord , en Bretagne Sud , en Med ... puis un stage de monit à Marseillan et à l'Ile d'Arz. C'est vrai que l'ambiance est parfois un peu pesante. En tant que monit , il m'est arrivé de partir avec seulement 2 stagiaires sur un dufour 30. Je preferais et de loin encadrer des stages hors haute saison : les gens qui y viennent savent ce qu'il veulent. J'ai cessé d'encadrer apres 2 encadrements de haute saison où j'ai été ecoeuré par les stagiaires qui n'etaient pas venus pour faire de la voile mais pour se payer un skipper et un bateau pour pas cher. De toute façon je n'avais pas vraiment la fibre "moniteur" .je crois que je manque singulierement de patience meme si , comme me l'a dit Marcel OLIVER , "il n'y a jamais de mauvais stagiaire, il n'y a que des mauvais moniteurs qui n'ont pas su expliquer" ..... André

Discuter des Glénans Bonjour les anciens stagiaires des Glénans.

Si vous voulez rester dans l'ambiance je vous conseille un site :

radlab.soest.hawaii.edu[...]dex.php

Pour apprendre la vie en groupe , pour apprendre à supporter les autres : je conseille fortement les stages à terre ! et les monits ne sont pas épargnés , ils sont des membres de l'asso comme les autres devant les corvées ;-)

Stages Glénans Je n'étais jamais monté sur un voilier , mais j'ai décidé moi aussi de me lancer ... Mon premier stage aux Glénans - niveau 1 - de 8 jours sur l'étang de Thau m'a ravi ; stage de 8 jours avec vie à terre ( les Onglous ) très instructive car quasi comme sur un bateau ... et stagiaires tous débutants ... C'était assez sportif pour moi ( 55 ans , j'étais l'un des plus vieux mais pas le moins motivé ! ) sur des "Surprise" et la tramontane soufflait parfois fort , mais j'aime quand çà déménage ... Un an après 2e stage ( niveau 2 évidemment ) : en mer cette fois en passant par Sète ... sur un Sun Odissey : 8 à bord ... Mais niveaux très différents ( certains ignoraient ce qu'est un noeud de chaise ) , les temps était plutôt agité ( vent du sud avec forte houle ) ... Nous n'étions plus que 4 opérationnels avec le moniteur très compétent ... Stage surtout axé sur la sécurité ... Très bien donc , mais j'ai déploré l'hétérogénéité de niveau du groupe ... D'ailleurs j'ai souvent changé de bateau , un autre Sun était en niveau 3 ... Par contre entre les 2 stages j'ai pris des cours de navigation par le Glénans ... Et passé le permis côtier qui me semble indispensable avant tout ... J'ai acquis Jalca ( 8,5 m de 1980 ) l'année dernière , remis en état tout l'hiver et suis parti en solitaire faire du côtier 15 jours du coté de Porquerolles depuis Barcarès ... La formation jusqu'au niveau 2 m'a suffit ...

Je retiens un chose: tout le monde semble en convenir:c'est plus rentable de faire un stage aux Glénan hors saison (car il y a moins de monde sur le bateau...).cqfd... ;-)autrement dit:qu'est-ce qui oblige à surbooker le canote en haute saison, je vous le demande... :-)

Surbooker ! Mon cher Hervé , Le prix du stage est calculé en fonction du remplissage maxi du bateau. Il n'est pas surbooké , il est complet.

Personnellement lorsque je loue un bateau avec des amis , je m'arrange pour diviser le prix de la location par le plus grand nombre de participants possible . Donc de remplir le bateau.

Les Glénans veulent démocratiser la voile donc la rendre accessible au plus grand nombre .

de mon point de vue, il vaut mieux payer un peu plus cher qu'aux Glénan et en avoir pour son argent,que faire une pseudo économie et se retrouver sur un bateau trop rempli;je fais partie,pour prendre une comparaison,de ceux qui n'ont pas les moyens de s'habiller bon marché,ni de gaspiller fric et temps en été aux Glénan alors que c'est-personne ne le conteste- plus profitable y compris chez eux quand les stages sont moins chargés, en automne ou en hiver (où leurs prix baissent,de surcroît)...le reste ("démocratiser" et tout ça)me semble, disons, daté,pour être gentil.C'est de l'arithmétique simple: mieux vaut un stage efficace dans des conditions optimales, et donc unique, disons à 800 roros, qu'un stage non probant à 600 roros, qu'on devra recommencer... Pour reprendre l'exemple de jipé,perso, je préfère me priver d'une croisière plutôt qu'être obligé de louer en "remplissant le bateau" avec "le plus grand nombre de participants possible"...or je suis pas misanthrope... ;-)

pas comme stagiaire , comme chef de bord bateaux en état convenablepour l'époque

mais c'était il y à plus de 20 ans...

deux souvenirs ou je les ai croisés:

le premier il y à juste 20 ans . une floppée de mousquetaires a essayé de me refuser un tribord dans l'entrée du palais.

je rentrais tribord , ils sortaient babord. deux dans le mole , un sur une tonne. les autres ont compris que ce n'était pas le bon coté...

le deuxième il y à une dizaine d'année. 4 sun way (21?) ont tenté de passer au vent de mon muscadet devant port-manech. deux ont préféré abattre derrière moi , les deux autres se sont entêtés et ont dû virer avant de faire un trimaran.

un peu panique les virements , les cailloux n'étaient pas loin...

moralité , ça dépend pas mal de celui qui commande à bord.

Alors la chapeau ! Je suis tres impressionne ...

dans le meme style -(jeune ou pas) chef de bord nous sommes en flotille 3 duf30 au Crouesty .Si je suis le plus vieux des 3 chefs de bord , je ne suis pas le patron de cette flotille et loin s'en faut : je n'ai que 3 semaines d'encadrement en embarqué à mon actif . Nous devons quitter les places visiteurs avec un bon vent de travers et bien evidemment les 2 autres chefs de bord partent ensemble ; paguaille dans les pannes ; les proprietaires des bateaux alentour rouspettent et repoussent tant bien que mal ces 2 bateaux qui leur tombent dessus à cause du vent. Moi j'ai attendu puis j'ai fait passer une aussiere sur le bout du catway le plus eloigné que je pouvais atteindre; j'ai mis un stagiaire à cette aussiere avec mission de reprendre le mou au fur et à mesure que nous allions reculer jusqu'à ce que nous passions au raz de ce catway. Je n'ai pas eté peu fier de sortir sous les aplaudissements de ceux qui g.... peu de temps avant. Il faut dire que j'ai été (dé)formé par Marcel Oliver , çà ne m'enpeche pas de faire encore pas mal de co ... André

Aussières au port , suite ... ma préférée, par vent latéral très fort, genre 30 noeuds, et cul à quai:

1) garder une seule aussière arrière au quai, côté au vent. 2) moteur assez fort en avant 3) larguer la pendille, le couple moteur autour de l'aussière unique maintien le bateau dans l'axe malgré le vent. L'aussière est tendue à mort. 4) ... le fin du fin: si on est seul et pour frimer : moteur en avant fort pour l'équilibre, tout en tenant la barre, couper au niveau du taquet arrière l'unique aussière tendue à mort avec le coutelas de pirate qu'on a sous la main, départ du bateau en trombe assuré, bien dans l'axe :-D

Succès garanti ... mais prendre une vieille aussière ou écoute pourrie pour le faire ! Et ralentir dès que le bateau est parti, sous peine de monter sur le quai en face :mdr:

En tout cas, ça permet de quitter le quai même seul et sans aide extérieure dans les conditions difficile.

a utiliser aussi quand le chenal entre les pontons et étroit

l'utilisation d'aussière dans les manoeuvres de port André17, l'utilisation d'aussière dans les manoeuvres de port est d'ailleurs évoquée dans toutes les éditions du guide, depuis que ce guide parle de plaisance (donc pas la 1ère éd)

Idée à graver en dur dans un neurone, au cas où des fois que. manoeuvre toujours appréciée du public

oui, ça dépend.. ça dépend beaucoup de celui qui commande à bord. Mais actuellement le niveau monitorat federal 2° degré est difficile à obtenir, et surtout très consommateur de temps.. il faut au minimum 4 à 6 mois de navigation cumulée, en intensif. c'est sans doute un gage de compétence, même si la transmission du savoir n'est pas optimale

Tout à fait d'accord avec Pierre-yves Quand j'ai tenté le 2eme degré , en theorie j'avais assez de semaines d'encadrement pour y postuler. Je suis allé faire ce stage à Bonifacio (je voulais connaitre ce coin). Je n'aurais pas dû. Sur les 8 ou 9 stagiaires seuls 3 ou 4 ont été reçus à l'A3C2 : ceux qui avait 5 à 6 mois d'encadrement A BONIFACIO. Aujourd'hui , je donnerais les conseils suivants à un postulant moniteur aux Glenans : choisir sa base de formation en fonction de ses affinités :Paimpol , Ile d'arz pour ceux qui aiment les courants et les marées, Marseillan pour ceux qui aiment le mistral et la Tram mais sans marée -quoique !- ou Bonif. Ensuite faire un max d'encadrement 1er à partir de cette base, pour etre jugé et formé 2eme degré par les encadrants de cette meme base. Ne faire que quelques encadements de "découverte" sur les autres bases en gardant à l'esprit que si la formation initiale a été faite à Marseillan par exemple , le moniteur 1er degré qui viendra à Paimpol sera mal vu ! j'en sais quelque chose , mais çà c'est une autre histoire !!!

Bonjour, Je viens de faire un stage à Concarneau (niveau 4). J'avoue avoir un avis assez négatif. Bon on n'était 7 sur un Elan E4 (35 pieds). Plutôt serrés pour une semaine complète à bord. Normalement on aurait dû être 8... Heureusement qu'il y avait un absent. De plus le stage de 7 jours ne fait dans la réalité qu'un peu moins de 5 jours et demi... Pourquoi ne pas être clair sur la présentation du stage ? Mais surtout, et là c'est beaucoup plus embêtant, le bateau était vraiment mal entretenu : fixation de bôme au mat arrachée au bout de 3 jours.Tous les rivets avaient progressivement sauté, semaines après semaines. Bout d'amure cassé : une 1/2heure de spi et après HS car impossiblede le repasser dans le bout dehors... Ecoute de génois tellement cuite qu'elle a aussi cassé par 15 nœuds... Avarie moteur : panne de gazole... 1 winch défectueux... Pas toutes les cartes de nav à bord... Le 4ème jour il ne restait que le génois pour naviguer ! Les bateaux rentrent un jour, repartent le lendemain sans véritable révision. Pas pro.

Pour une première participation au forum ici... il faut surtout que tu fasses remonter ce compte-rendu au CNG Concarneau lui-même ! Ici ça ne fait qu'alimenter le marronnier.

Bonjour, J’ai eu l’occasion de rentrer un jour dans un Élan 31 des Glenan. Un bateau d’à peine 2 ans. J’ai été effaré de l’état lamentable du bateau. En clair, il était ruiné !!! Il y a 2 jours, un bateau de cette école, s’arrime à côté de moi. La responsable du bord était pieds nus. Je lui est fait remarquer que ce n’était pas professionnel. Elle a affiché un petit air narquois en me répondant qu’elle était «une sale gosse ». C’est pas beau, ça ? Bonne journée, Patrice

Je sais qu'à l'époque, notre moniteur disait que SAV Élan n'était pas à la hauteur. Très difficile d'avoir les pièces et de faire prendre en charge la garantie.

J'ai fait 2 stages aux Glénans il y a 10 ans en partant de la base de Paimpol et je ne garde que des bons souvenirs. Le premier c'était sur un Elan31, qui avait moins de 3 ans. On était 6 avec le moniteur, je crois. Un super moniteur avec beaucoup d'expérience, entre 60 et 70 ans. J'y vraiment appris la croisière et ses préparations de routes, calculs des marées, relèvements, tenue du journal de bord, les quarts... On faisait aussi bien entendu des manoeuvres tout en faisant le maximum de milles pour visiter les ports de la côte le soir. Le 2e c'était sur un Dufour 325 flambant neuf. On était les premiers à l'inaugurer. Pareils, des stagiaires et moniteur sympas. En principe les gens qui s'y inscrivent sont plutôt sociables. Ceux qui ne supportent pas la vie de groupe passent leur chemin On est allé à Jersey et Chausey entre autre. Franchement, je recommande, en tout cas les stages "croisière" de Paimpol. Ailleurs je ne connais pas. Mais c'est sympa également d'aller dans une autre zone de navigation. La sécurité est leur crédo. Pour ce qui est du rapport qualité/prix, c'est très honnête. C'est un peu comme si vous louiez un bateau mais avec les cours en plus, pour moins cher même.

@ equalizer Merci, ça équilibre en effet et me met du baume au coeur !

Les Elan 31 avaient dès le départ des défauts de qualités, par exemples les barres franches livrées étaient souvent fissurées aux soudures. Mais je dirai que ce n'est pas la faute des Glenans en tant que client, ce type d’anecdotes se rencontre avec beaucoup de chantiers et les clients font ce qu'ils peuvent pour y remédier. Le centre de Paimpol a toujours eu la réputation en interne d'être le plus sérieux du CNG, mais cela ne change rien au fait que la qualité globale des prestas du CNG ne sont plus au niveau de l'image communiquée au public. Moi aussi j'ai eu droit au moniteur en tong, le même qui nous a vautré sur le récif de Port Manech et qui venait de Paimpol... Ça fait mal au cœur, c'est dommage, c'est tout ce qu'on veut mais c'est une réalité, libre à chacun d'en conclure ce qu'il veut et même de le dénier et de se voiler la face.

Je m’étonne de les voir très souvent prendre des bouées de mouillage( privées) pour passer la nuit au lieu de privilégier les manœuvres de mouillages , ( manipulations des apparaux , distance et évitage ) bref, un domaine d’apprentissage très important en côtière … ( la facilité?)…

De plus, pas très marin, car on ne sait jamais ce qu’il y a en dessous de ces bouées …( a part les propriétaires …)

Je me souviens qu'on mouillait avec l'ancre plutôt que de prendre des coffres. C'est surtout mon dos qui s'en souvient, parce que les voiliers n'étaient pas équipés de guindeau et que l'ancre était très lourde.

Il y a pas mal de méthodes pour remonter une ( grosse) ancre sans guindeau. En maillant un bout avec un mousqueton sur la chaîne et se servir des winchs d’écoute de cockpit ou de ceux en pied de mat .par exemple . Et quand il y a 5 ou 6 jeunes gaillards ( es) , on tire tous ensemble, à l’ancienne , et ça vient tout seul 😝.( commentaire restant absolument « maritime 🙀😹»)

Je l'ai fait en solo en effet

je me souviens quand j'etais stagiaire puis moniteur aux glenans dans les années 80....pas de gps pas d'electricité , pas de chiottes ,pas d'instrumentation sauf un radio pour la meteo et la gonio, pas de moteur, formation ds moniteurs interne sans titre officiel, 4 dans un 6.5m, mais aussi 100 fois moins (facile) de bateaux ....a l'epoque c'etait incontournable..A voir les vacanciers en lagoon, sur la cote med cette année ( et depuis deja pas mal de temps) je me demande qui suit encore le cursus Glenans...et pourtant vous devriez tous y aller avant n'importe quel achat ou location.. Grace a cette base ( et mes autres nav) je suis aujourd'hui, bien que vieux, apte a me demerder seul dans n'importe quelle condition foireuse, et aussi me passer de toute l'electronique ( he oui c'est possible)..j'espere qu'il enseignent encore ca il y a d'autres formations sans doute bien aussi , macif , ucpa etc.. mais tout de meme restez un peu dans la tradition meme si l'eectronique chinoise a tout envahi

L'ecole des Glenans d'après mon expérience le niveau n'est pas folichon, c'est un bon moyens pour les ados de faire une sacre foire et pour les parent de s'en débarrassez.....

J'ai fait 3 stages aux Glénans il y a env. 20 ans. Lors des 2 premiers, j'ai bien appris toutes les bases, avec des monos compétents (ceci dit rétrospectivement). Le 3e stage, embarqué, était franchement plus de la balade que de l'apprentissage, avec un mono guère dynamique...

Cursus glénans toutes mes vacances de 14 à 20 ans du nord au sud. Je ne vais pas en dire du mal :-) Bon avec ça j'ai toujours pas mon "truc" vhf

alors la mon gars tu te foule pas la rate pour le commentaire

T'as raison mais sinon ça fait vieux qui radote sur ces jeunes années. On se refait une semaine de stage ensemble type niveau 2 ou 3 histoire de ne pas se casser un col de fémur le premier jour?

Mayko, tu dois être le genre de moniteur que j'aurai bien aimé avoir aux Glénans, mais le marketing associatif a pris le dessus et je pense que l'expérience que nous avons reçu comme stagiaire-client est très loin de l'association que tu as connue.

Pas moi ! justement parce que je le connais... ;-) Y a pas que la compétence qui compte.

Mais non Flora c'est une expérience humaine :-) Bises Philippe

ben c'est ce que je me dis , mais je pense serieusement a me renseigner pour m'y remettre..apprendre aux bons blaireaux ca me plairait bien, si je ne suis pas trop faible et si je fais un effort pedagogique , ce qui n'est pas mon point fort...j'ai bon espoir car mon epoque Rambo est plutot revolue

;-) c'est ta bonne résolution de la rentrée ?

Re bonjour, Il est évident que l’expérience du chef de bord apporte un ressenti essentiel sur la qualité de stage. Dans mon bassin de navigation (Lorient) beaucoup de bateaux Glenan évoluent. D’autres écoles aussi (UCPA, MACIF, etc…) Seuls les Glenan n’ont pas la cote envers les autres plaisanciers. Pourquoi? Accostages «rugueux » sur les autres bateaux. «ils faut bien que les stagiaires apprennent…!!!! » Arrivées de nuit: moteur qui tourne encore un 1/4 heure après. Les stagiaires se parlent entre eux comme en plein jour. Ribaudes jusqu’à plus d’heure. Quand j’ai appris à naviguer, on m’a dit qu’il fallait être le plus discret possible dans un port, le jour, mais surtout la nuit. Toutes ces règles de bienséance ne sont apparemment plus la norme dans cette école. C’est bien dommage car je suis évidemment pour le renouvellement des troupes. Bonne journée, Patrice

Jamais fait les Glénans donc pas d'avis de l'intérieur. Ce que l'on voit en mer des bateaux des Glénans: voiles souvent mal réglées,quelquefois des pare bats pas enlevés à 2 milles du port... J'ai loué mon bateau à pas mal de jeunes dont une partie sont moniteurs Glénan (ils aiment bien le dire!). Meme si c'est ok pour certains le niveau nautique d'autres fait franchement peur. J'ai presque envie de fuir lorsque l'on me parle des Glénans aujourd'hui.Je pense que c'est bien pour découvrir la voile mais c'est tout.

Exactement surtout que pour les bases du nautisme à la voile les CNG (Centres Nautiques des Glenans = tous les sites) disposent d'un outil très performant avec les Glenans 5.7 et les Surprises particulièrement bien adaptés à l'enseignement , et de centres à terre avec dortoir qui sont OK à condition d'avoir prévu des bouchons d'oreilles. En partant de zéro, c'est une bonne formule qui a sont utilité, après ça devient passable en stage embarqué et très médiocre voir merdique pour les niveaux 4-5 voiles.

Pas mal de «  frictions » sur l’archipel des Glenans entre « l’école » ( certains monos et les plaisanciers) … Je me souviens du cri d’alarme sur les voiliers au mouillage: «  Attention Attention!!! Les Glénans !!les Glénans 😡🥴😆 »

De tout ce que j'ai entendu et que j'entends encore, il y aurait une grande différence de comportement et de ressenti concernant le sérieux de l'enseignement, entre les bases en Manche, en Atlantique et en Méditerranée... Moi je n'ai que l'expérience de la Bretagne Nord et Sud dans les années 70. Et toujours entre adultes, en dehors des vacances scolaires. Je n'avais auparavant que l'expérience du dériveur sur plans d'eau intérieurs et j'ai vraiment beaucoup appris en 4 stages de 15 jours à partir de Concarneau et Paimpol. Moniteurs excellents et stagiaires motivés. Les bateaux : Cavales à l'archipel, Mousquetaires et Armagnacs en Bretagne Nord et "le" Glénan croisière fin de cursus CdB Concarneau-La Rochelle-Concarneau + les cours théoriques au ponton sur la Seine à Paris.

ha y'a encore des vieux ca fait du bien , le bon temps de bricolages maison et des loch a l'ancienne!!

Mais on en est convaincu Flora, que veux-tu que l'on dise ? C'était bien en 1970, et que c'est resté toujours bien ? Ou alors, du fait de la réputation excellente des années 60-80, nous avons donc rejoint les GL durant les années 2000-2015 en étant tout autant motivés, cependant nous avons fait un constat bien différent de l'image originelle vantée ? Amha, j'ai l'impression que cette association n'a pas réussi à faire face à son succès et a dû former en urgence beaucoup de moniteurs issus des bénévoles permanents, via une filière dédiée, je pense que c'est là-dessus que ça a commencé à foirer, la fin des bénévoles authentiques, avec expertise et passion et volonté de partager et transmettre. Perso j'ai arrêté en mars 2016 ou j'ai pris la décision de ne plus jamais y retourner et j'ai bifurqué sur la filière RYA qui fut bien profitable parce que complémentaire. Beaucoup de choses évoluent en positif comme en négatif, resté scotché sur une image de 50 ans en arrière amène forcément à des déconvenues. De tte façon même la plaisance en général a évoluée en 50 ans, on le constate souvent sur le forum.

GPS moteur prevision meteo fiables , c'est nul

Question de point de vue, mais les tradis vs les modernes sont pour moi un débat inutile et sans réponses. La connaissance du positionnement façon tradi aux alignements, au relèvement, à la sonde et même au sextant me semble absolument nécessaire à acquérir, déjà pour leurs vertus pédagogiques et ensuite pour leur efficacité redoutable (un alignement, c’est instantané). En même temps, le + de sécu par un GPS et une carto numérique, c’est une sécurité certes facile en apparence, mais bien réelle aussi et je comprendrais mal qu'on la rejette. Ça me fait penser à la mésaventure du Mod 70 échoué à Tromelin , que des coureurs, mais plus de compétences de navigation pilotage, juste une utilisation de carto numériques, résultat ....

L'expérience positive d'Equalizer date de 10 ans en arrière, pas de 50...

Arrête de radoter !

Une expérience et tu conclus pour toutes les autres. Bloom a fait son stage cette année.... Arrêtes de dénier !

J’ai fait 2 stages vers 2005 avec ma femme à Marseillan. Ignorant l’existence des dortoirs, nous avions pris un petit hôtel à côté et on a été un peu mal vus… mais nous étions les seuls à bien dormir ! Au premier stage, 40 noeuds de vent établis, donc on a fait beaucoup de théorie à terre (et beaucoup la vaisselle !), et ce n’était pas mal du tout avec des formateurs compétents. 2ème stage, embarqués sur un Grand Surprise, un peu serrés mais assez sympa, bon moniteur aussi. Ambiance un peu gâchée par un radin qui refusait toute visite aux cafés des ports visités, mais bonne formation dans l’ensemble. Comme je ne connaissais jusque-là que la voile légère et ma femme rien du tout, nous en sommes sortis aptes à la navigation et autonomes l’un et l’autre. Il restait juste à acquérir l’expérience.

Bloom, j’aimerais bien connaître les attentes que tu avais pour le stage que tu as effectué ?

Et aussi, Qu’elle est ton expérience nautique ?

-En règles général le contenu du stage est très clair… as tu pris la peine de bien te renseigner avant de râler ?!

Pour avoir beaucoup naviguer avec les glenans, j’ai souvent rencontré des stagiaires moyennement adaptés pour la méthodes « glenans ». En bref: Trop individualiste ou consommateur …

Que ce soit, l’équipage ou le chef de bord, il y a un toujours un facteur chance… avec les glenans Cela reste malgré tout formateur.

Dans l’ensemble j’en suis très satisfait de mes stages même si c’est imparfait.

Nb. Avoir des avaries en bateau, c’est assez fréquent ! Donc formateur! …

Essayes avec d’autres écoles, tu trouveras sûrement un truc qui t’iras.

Vous me faites bien rires avec vos -1 Faites-vous plaisirs !

Et bien,rions,perso,j'ai été moniteur aux Glénan, salarié car be,ils n'avaient pas assez de blocs,grandement déçu, même plus,écoeuré,il me serait possible d'écrire des pages mais pas sur un smartphone

la methode glenan du moins a mon epoque c'etait de nous apprendre quelques bases techniques mais surtout de nous apprendre a nous demerder et a etre autonome...dans mon cas apres 4 stages en 1 ans et demi ils m'ont bombardé moniteur puis chef d'ile, sans aucune consigne...la ca rigole moins surtout a 20 ans mais au moins il y l'obligation de securité qui est le maitre mot de cette activité...je crois qu'avec cet esprit les mous ont ete vite decouragés, mais les autres ont pu etre des marins

Son attente,peut être un bateau pas pourri??

Mon expérience des Glénans (qui date du milieu des années 70). Déjà moniteur voile, j'ai frappé à la porte de la péniche parisienne afin de postuler comme moniteur. Fin de non recevoir. "Monsieur, nous formons nous-même nos moniteurs"

Bon, ben j'ai été officié ailleurs :-)

Sur l'eau, ou du moins au port, il vaut mieux ne pas être voisin. :-(

toujours les mêmes qui sortent les mêmes rengaines contre les glénans ... ça pue ... faut passer à autres choses ... ou à d'autres marronniers, ça fait radotage

Sans radoter,je vais me fendre d'une réponse circonstanciée a partir d'un ordinateur

@ ric56 : épargne toi ce travail, on les connais déjà toutes tes anecdotes, ça fait des années que tu les répands dès que l'occasion t'en est donné; faut passer à autres choses surtout à ton âge; un tel acharnement va te donner des ulcères

Pas de pb, vous ne connaissez pas tout, mais je forme encore des équipiers et chef de bords, ils partent avec la banane . Peut être qu,'ayant enseigner sensiblement 15 mois, j'ai une approche différente, non formatèe

Le fil fut relancé suite à un nouveau retour d'expérience récent, rien de plus. Si vous préférez on peut demander à HEO de censurer les avis et témoignages qui ne plaisent pas. Et là, ce sera bien puant effectivement.

Un retour d'expérience qui était le premier post d'un nouvel arrivant sur le forum, "Bloom" que l'on n'a pas revu d'ailleurs. Je lui avais conseillé de faire remonter ses récriminations directement au CNG Concarneau, il n'a pas daigné répondre.

On ne va pas répondre à sa place, possible que HEO ayant une grande diffusion, il l'a utilisé le forum comme d'autres utilisent Tripadvisor pour remettre une cotation. Le fait d'être nouveau n'implique pas d'être un troll, mais il aurait pu par correction mettre un profil succinct et se présenter. Il faut croire que le gars était bien vener. Oui par principe, il faut faire remonter ses avis négatifs et je l'ai fait moi-même, mais est-ce reçu et utilisé ensuite ?

Bonjour à tous, Quelques précisions : J'ai mis un témoignage en ligne, négatif certes, non pas pour critiquer pour le plaisir ou parce que j'étais énervé, mais simplement pour apporter un témoignage actuel parmi d'autres, plus anciens (le fil était interrompu depuis plusieurs années). D'ailleurs je suis inscrit sur le site HEO depuis bien avant d'y mettre ce post et je n'y suis pas venu spécialement pour faire une critique des Glénans ! En conséquence, lorsque quelqu'un d'autre met un témoignage contraire, d'une expérience très positive aux Glénans, je ne me sens pas agressé : il fait la même chose que moi. Il apporte son témoignage qui s'ajoute à d'autres et qui peu à peu permet à chacun de se faire une opinion. D'ailleurs vous pourrez constater que je n'ai jamais émis de généralités sur les Glénans car ma seul expérience ne me permets pas de conclure quoi que ce soit. C'est l'addition seule des témoignages qui a du sens et qui, me semble t-il, fait l'intérêt d'un site communautaire. Et c'est ce que j'aime dans HEO,... lorsque cela fonctionne bien. En revanche, j'aime moins le côté "guerre de tranchées" que prennent parfois certains posts, comme s'il s'agissait d'établir qui détient la vérité. Pour répondre à des questions qui me sont posées (à quel titre ?) : oui, j'ai fait part de mon avis aux responsables du stage via une fiche que l'on remplit en fin de stage (bonne pratique, au passage). Oui, j'ai une certaine expérience de la voile (20 ans de voile, essentiellement voile légère, notamment en régate, et envie de passer sur des croiseurs, d'où mon stage). Non, je ne suis pas un simple "consommateur" incapable de prendre en compte les spécificités d'une association... Mais est-ce que je participe à un site communautaire pour devoir me justifier ? Non. Est-ce que cela est utile d'apostropher de manière plus ou moins agressive ceux qui ont une expérience ou un avis contraire au sien ? Je ne crois pas.

C'est clair Bloom. Sur ce sujet de discussion, il y a un phénomène flagrant d'irrationnel à cause de l'importante dose émotionnelle en relation avec un vécu. Du coup la transcription de la réalité actuelle, si elle ne matche pas avec le passé, est vécue comme une guerre à ce que l'on a chéri dans sa jeunesse. Étant gosse je passais mes vacances à Marseille (dans les années 70), l'image et le ressenti de l'époque n'ont plus rien à voir avec le Marseille d'aujourd'hui, et si je discute avec une personne qui en a une vision récente et négative, je pourrais très mal l'interpréter comme étant une opposition fondamentale de conception du bonheur, alors que chacun se réfère à des choses complètement différentes (50 ans d'écart sur un lieu cela peut être énorme). Mais finalement ce qui est bien dommage avec toutes ces réactions émotionnelles, c'est que cela ne permet pas aux "néo-voileux" actuels d'avoir un retour utilisable sur la nature des prestations par les associations et écoles de voile. Si j'avais pu lire un exemple comme ton témoignage avant, je ne me serais pas fait embarquer à poursuivre cette filière qui en 2020 ne correspond absolument pas avec ma conception de la formation. Dans les années 60 et 70, je suis convaincu que cela aurait été très différent, mais ce passé a été (volontairement ?) gommé pour le niveau de presta actuel.

Je confirme que lors des stages que j'ai faits, on n'avait pas de GPS ( les GPS traceur existaient pourtant il y a 10 ans). J'y ai tout appris en navigation. On naviguait avec la carte, le compas et les jumelles. Nos moniteurs nous ont toujours également inculqué le respect vis à vis des autres plaisanciers, notamment lors de la mise à couple (ex: ne jamais traverser par le cockpit mais par le pont avant et en silence) ou les priorités en mer. Et tout cela dans une bonne ambiance. Bref, je n'hésiterai pas à refaire un stage chez eux.

Ai été moniteur au glénans plusieurs années et aussi chef de stage. C"était il y a trés longtemps quand bcp de leurs bateaux étaient encore sans moteur donc ça m'a appris à maneuvrer d'assez gros bateaux sans moteur. Je rejoins l'expérience de Mayko lue ci-dessus à ce sujet. Ca me sert encore occasionnellement maintenant et c'est de toutes façons assez sympa d'attraper un coffre dans un coin encombré à la voile, même sur un 38 pieds. Lever l'ancre et quitter le mouillage à la voile aussi ( trés largement le plus délicat car c'est pas facile de faire abbatre un voilier à partir d'une position bout au vent dans le rayon et le sens qu'on veut, en maneuvre à la voile ce qui tue est la situation ou on n'est plus maneuvrant). Dans le rayon "trés utile", ai ramené un dehler 36 de location et un Etap 28 (le mien), tous les deux en panne moteur sous voile. Le Dehler de nuit à port Tudy à Groix, L'Etap un ponton extérieur d'une marina en Zeelande. Aussi les Glénans de cette époque la nous décomplexait totalement vis-à-vis du rase cailloux. Cette été j'essaye de passer à travers les Minquiers "juste pour le plaisir" à marée basse. Pas réussi mais bon...Le truc est que ce type de formation permet de considérer un voilier comme fonctionnel si le mât tient toujours debout (un safran OK aide aussi pas mal). Ca donne un énorme sentiment de liberté et de confiance en soi. Aussi la culture de sécu permet de toujours ramener le tout à l'essentiel. Ai connu à ce sujet de mauvaises expériences avec des équipages "culture régatte" de la côte Belge même étant belge moi-même.

Les glenans c’est une usine qui s’est bien éloignée de ses origines comme l’ucpa d’ailleurs. Du coup le bonnet le mauvais se côtoie. Perso j’ai toujours choisi l’ucpa pour mes stage car la flotte est plus petite et le nombre de CdB moindre a mon sens cela réduit les risques Mais il y a trop de monde à bord pour bien apprendre. Maintenant que je suis habitué à la croisière en duo je crois que je m’ennuierai a surveiller un hb de gv mal conçue pour dire de s’occuper

Bonjour à tous, Le problème des Glénans à mon avis ce sont les moniteurs. Si vous tombez sur un "bon" comme moi, c'est super, si vous tombez sur un "mauvais" comme mon épouse c'est une semaine de foutue.

Si vous tombez sur un "bon" moniteur et aussi sur un "bon" bateau visiblement. Un moniteur même talentueux aura du mal à enseigner avec du matos limite HS, il pourra un peu se rattraper avec des bons topos théoriques bien soignés et pas des gribouillis dégueullasses baclés, mais comme ils disent au RYA " nothing can substitute experience".

Un "bon" moniteur contrôle son bateau avant de partir. J'ai de la peine à croire à la mise à disposition d'une épave.

Sans aller jusqu'au bateau épave (faut pas exagérer non plus), dans le programme il y a une partie reglage fin des voiles, mais si les voiles sont bien usées ce qui arrive vite vu le nombre de jours de sortie par bateau, les stagiaires se retrouvent avec des explications indémontrables en pratique. Ce n'est pas dangereux, mais ca donnera un résultat un peu baclé. Des bateaux en sales états j'en ai vu quelque uns mais globalement les bateaux de mes stages Glénans étaient corrects mais souvent usés. Un bateau ancien peut rester un bon support pédagogique s'il est bien entretenu, il y a aussi beaucoup de petites ecoles de voile qui ont des voiliers de 30 ans (exemple j'ai navigué en JOD35 avec le club de Dieppe).

@ Blue Note: Le bon, c'est toi; et le mauvais, ta femme? 😱 Je trouve que ta formulation est particulièrement ambiguë. 🤭

En tout cas un navigateur voile inspiré par le Blue Note Record est déjà en plein dans le bon gout. Magnifique label avec un catalogue de musique jazz excellent.

Il y a un divorce en vue...lol!

A l'époque déjà. Sur mes recommandations, un copain fait un stage de 15 jours. Première semaine avec un objecteur de conscience et deuxième avec un militaire qui revenait du Liban. C'était pas la même ambiance. :-)

Un critère parfois oublié c'est le prix...la possibilité de pouvoir garer sa voiture gratos...essayer des voiliers qui intéressent...des stagiaires au même niveau social,moins réservé à des friqués par ex.

Je n'ai jamais fait de stages aux Glénans mais j'ai enseigné la voile (scolaire + equipe compet) pendant plus de huit ans dans une école FFV voisine d'une base Glénans. D'un point de vue exterieur, en habitable, voiles rarement bien réglées, je ne compte plus les spis a l'envers et autres manoeuvres scabreuses. En voile legere, un gros doute de ma part en terme de contenu péda : Le moniteur sur son Hobbie Cat 16 et ses 10 Hobbie Cat 15 en "stage". Ca doit pas etre pratique pour apporter du contenu aux stagiaires... Je ne compte plus les fois ou je suis allé redréssé un cata, le moniteur déja affairé avec un autre ou bien sous spi a 3 miles de là. Un ami très proche, egalement BE depuis des années, ayant bossé la, en est parti dégouté. L'esprit initial Glénans semble avoir disparu, et la qualité de formation des moniteurs en est la cause d'apres lui. En tout cas, leur annuelle régate des moniteurs (Donc sans stagiaires) a transpiré le manque de niveau cette année : Sur les 20 bateaux, le premier a du franchir la ligne de départ 30 sec apres le top, et les autres arrivaient au compte goute derriere. Les derniers n'ont meme pas pris la peine de finir. Surement une école sympa pour mettre le pied a l'etrier mais les différences de niveau entre les monos rendent une reele progression impossible, vous serez tres vite meilleurs que certains d'entre eux. Je ne parle ici que d'une base méditerranéene que je prefere ne pas citer. Ceci etant dit, je prefere voir des jeunes mal encadrés que des jeunes qui ne naviguent pas...

J ai fait deux stages aux glenans en février et mai 2015. Le premier amarseillan le second au départ de vannes stages croisiere 3 et 4 voiles. Moi je venais de 4 ans de pratique régulière de la voile légère en 420 et laser. Le premier stage a été super sur un dufour 325 en bon état et j ai apris beaucoup que se soit sur la navigation sans instruments modernes la sécurité la conduite du bateau. Le chef de bord était très fort car supra calme toujours du sang froid superrespectueuxde tous et avec une solide expérience personnelle même si pas academique. Début février premier stage embarqué del annee nous étions 4 élèves supermotives qui voulaient en apprendre un restauration voilierde voyagepourpartir en Amérique du Sud et avait besoin d apprendre, moi je voulais pouvoir louer sans skipper des l été et emportermafamilleen sécurité les deux autres avaient a peu près le même projet. Ca a été un stage tellement génial que deux d entre nous nous sommesretrouvessurlememeembarquement à vannes en mai sur un rm nickel aussi avec un chef de bord nullissime en tous points. Nous sommes malgré tout sortis dans du 7 etabliet des vagues de 6 mètres on a passé la jument à la 3 ème heure de maree descendante, le chef de bord avait passé la ligne de vie sous les ecoutesde foc et il n avait pas fait l inventaire des voiles d avant disponibles. A la fin de la première demi-journée il était tellement discréditer, n osait plus rien dire. Nous avions dans l équipage une navigatrice au top qui en était a son 15 ème stage Je pense qu avec la perte de confiance dans le chef de bord et la petite base de compétences dont nous disposions c est la quenous avons apprisleplus. Quand j ai loué mon bateau surlamediterannee le loueur est resté bouche bée du check d entrée que j ai faitason bateau un hanse 32pieds que j ai fais entrer a sa place au lavandou dans des rafales de 25 nœuds sans cogneraucun des voisins. En juillet j ai trouvesur les mon petit feeling et je me dit que si je devaisdemainfairedu hauturier je me paierai un stagede mise a niveau sans aucun doute aux glenans

Enfin un retour d'expérience positif de Marseillan ! ;-) En hiver entre adultes motivés.

Des Hobie Cat 15 aux Glénans ? c'est un peu étonnant non ?

en 1980 ou 81 j'ai ete chef d'ile pour un stage hobbie et planche debutant..bon j'etais pas fort en planche mais assez pour apprendre au gens la base...en hobbie j'ai pu leur apprendre a barrer plus proprement , mais il n'en reste pas moins que d'apres moi ce n'est pas le type de stage qui corresponde a l'esprir glenans d'origine.. je constate que beaucoup deplorent que cet esprit se perde..je ne peux en juger car ca fait des decenies que je n'ai plus été au glenans. cependant si on proposait aujourd'hui aux stagiaires des stages " traditionnels" purs et durs, je doute qu'ils soient enchantés a l'heure des caravanes beneteau ou lagoon... les bateaux sans moteur sans guindeau parfois sans ou avec le minimum de winchs, cuisine reduites a un rechaud au kerosene , pas de chiotte ni de SDB, pas d'enrouleurs bien sur , pas de gps ais, pas de circuit electrique sauf pour les feux de nav et le recepteur BLU( sans interet aujourd'hui) etc....4 a 5 sur un 6.5m. Nav a l'estime a la gonio ou au consol pour le large...mais des spis sur presque tous les bateaux le La vraie limitation est l'absence de moteur car il est totalement impossible de rentrer dans on port surpeuplé sans moteur sauf a la godille par calme plat..he oui on bougeait tous le bateaux a la godille meme la vieille sereine ( bois classique de 12-13 m)... philippe le vieux

"je doute qu'ils soient enchantés a l'heure des caravanes beneteau ou lagoon..." Possible mais tout le monde ne se préoccupe pas du confort de caravanne, la majorité des stagiaires viennent pour acquérir des compétences en voile. Alors la bonne question est : est-ce que l'apport pédagogique pour les stagiaire était meilleur au début de l'assoce avec les conditions rustiques et des vrais moniteurs passionnés en comparaison des conditions actuelles avec des bateaux de série bien exploités et des moniteurs formés rapido et à la chaine ?

"des moniteurs formés rapido et à la chaîne ?" Cela a toujours été le credo. Apprendre par la pratique est et à été le style glénans depuis toujours. ceci était et est toujours valable pour les encadrants. Et comme dit piquillo "Je pense qu'avec la perte de confiance dans le chef de bord et la petite base de compétences dont nous disposions c est la que nous avons appris le plus". Donc pour une personne positive, le négatif devient une aubaine.

Finalement, dans ce cas, cela revient au partage d'expérience comme avec les bourses aux équipiers ou la co-navigation. Ca c'est un truc que je n'ai pas pu pratiquer puisque j'ai mis tout mon temps libre dans les stages, et je pense que ca a été mon erreur.

C'est exact.

J'ai bien aimé mes 2 stages ,perfectionnement puis pilotage ou croisière côtière dans les années 74 il me semble. À la dure oui ,mais avec le nécessaire ,et plus tard sur mon Flirt entre Noirmoutier les acores iles marquises j'j'ai su m'en sortir seul avec un petit budget en 78 79 ,en apprenant seul la nav astro .

Pour ce qui est de la formation des moniteurs fédéraux le problème est le même dans les clubs FFV. En fait il y a peu de volontaire et les clubs en ont besoin donc on leur file le CQP même s’ils sont très limité sur le plan théorique . Le plus important étant qu’ils soient débrouillards motivés et pas trop regardant sur les conditions de travail.

Cela explique pourquoi dans bien des cours ou stage de voile, on apprends à border et choquer et à ressaler un bateau. Les réglages fins, le trim , le départ de régate le cadre tout cela passe à l’as.

En même temps c’est inhérent au mode économique de fonctionnement. Les meilleurs passent ensuite un BE ou et un Cap200 mais ils sont peu nombreux on en croisent donc rarement (Et pour ce qui concerne mon expérience perso, la pire expérience de voile que j’ai eu l’a été avec un BE Cap200, la meilleure aussi mais ce n’était pas le même mais au même endroit)

Les Glénans n'ont jamais fait de formation à la compétition, que je sache. C'est pas du tout leur créneau.

On ne peut pas apprendre sérieusement la voile (pas la navigation, la voile)si on ne fait pas de régate Ne serait ce que des régates saucisson

Comment savoir si on règle bien ses voile sans point de comparaison ?

Comment savoir où et quand virer ou empanner si on ne sait pas faire un cadre de navigation

Pour ma part je déteste la compétition mais il faut reconnaître que c’est un outil didactique indispensable et même inévitable en voile légère

Un moniteur qui ne sait pas prendre un départ saura t’il prendre un coffre récupéré un ham ?

Flora tu n’es pas très objective

@tiktak. il y a des épreuves techniques pour passer les monitorats FFV "croisière". regate ou pas, la récup HLM dans les temps imposés en fait partie (sous spi en solo pour le MF2).

je te confirme ce que dit Flora, la régate n'est pas au programme dans la filière croisière embarquée.

Je réagissais au propos concernant les moniteurs de voile légère

Tu as déjà vu passer des CQP ? Vraiment vu. Moi oui, tu serais surpris. Les clubs ont besoin de cette main d’œuvre pour la saison. Le diplôme le plus important pour eux est le permi côtier pour pouvoir prendre la sécu. Le second truc le plus important c’est d’être capable de ressaler un bateau en vitesse. Le reste c’est secondaire. Il ne faut pas se leurrer au tarif où on paie ces jeunes de 18 ans qui vont faire de l’initiation tour l’été on n’espère ni des techniciens ni des pédagogues.

je réagissais à ta généralité de départ. aux Glénans j'ai réellement appris sérieusement à faire sérieusement de la voile (ma femme aussi) et sans faire de régate.

@ Virgule Pas mieux, j'avais fait auparavant (ado) deux stages voile légère sur une base du Touring-Club de France et pratiqué le 420 en régates amicales, mais c'est vraiment à partir des stages à l'archipel et à Paimpol que j'ai appris sérieusement à faire sérieusement, comme tu dis ! ;-)

Non. Tu le crois c’est différent. On ne peut pas apprendre à régler finement une voile sans pouvoir vérifier l’efficacité de ses réglages. En croisière on croit toujours que l’on marche bien. Bord à bord avec un copain sur le même bateau on a vite fait de se remettre en question. La régate au delà de la compétition que je déteste c’est d’abord cela: pouvoir progresser au contact de meilleurs que soi. Il est incroyable qu’un moniteur de voile ne passe pas par la. Imagine—t-on un moniteur de ski qui ne se serait jamais aligné entre les piquets?

Mais j’ai bien compris qu’il ne faut pas écorner le mythe donc je m’arrête je ne veux pas faire de peine

s'il te semble incroyable qu'un moniteur de croisière embarquée ne passe pas par la regate, parles-en a la FFV, c'est elle qui détermine le contenu de la formation, par niveau et par filière, dans les écoles de voile affiliées. c'est aussi elle qui signe ton diplôme de moniteur FFV.

par ailleurs, quand j'encadrais des stages manoeuvre sur les 8.50, mes stagiaires n'avaient pas d'attentes particulières sur les reglages fins (0.10/0.15 kt), ils voulaient surtout bosser les chronos, le spi, la conduite.

Les stagiaires ont souvent un but simple : comment devenit autonome et arriver à naviguer de manière zen. C'est la véritable finalité. Les moyens et les voies pour y parvenir sont divers, mais souvent, le fait de varier les bassins de navs, les structures et contextes, les profils d'equipiers et skippers et aussi les supports, constitue une très bonne approche. Mais il faut pouvoir avoir cette variété, par exemple la régate est peu accessible si on habite loin de la mer car il faut etre disponible régulièrement les WE. Je comprend mal qu'aucun stagiaires n'aient pas d'attentes particulières sur les réglages fins sachant qu'il s'agit de réglages de performance, sur les embarquements que j'ai effectué, c'était quand même un sujet de travail pour certains, par contre c'est quasi impossible à travailler avec des voiles anciennes déjà bien déformées. Au fil des discussions du Forum, je remarque qu'il ressort que la FFV n'a pas une attitude très constructive quand elle intervient sur la plaisance à voile, la formation en France est dans un etat lamentable, le brevet d'aptitude de conduite de navires à voile a été torpillé en restreignant l'acces aux seuls BE voile, les performances professionnelles des mêmes BE voile sont très inégales voire peu convaincantes.... Il y aurait beaucoup à améliorer dans l'action de cette fédération, déjà par une clarification de son action, car la FFV encadre aussi l'activité de voile de loisir sociale ou d'interet touristique, c'est à dire l'activité des HEOssiens. « La FFVoile a pour objet d’encourager, de promouvoir, de développer, d’animer, d’enseigner, d’encadrer, d’organiser, et de contrôler dans la limite de ses prérogatives le sport de la voile sous toutes ses formes de pratique, que celles-ci soient à visée de compétition, de loisir, de pratique éducative et sociale ou d’intérêt touristique2. »

Bien d'accord.Il n'y a pas de meilleure formation que de s'engager comme équipier(ere) en régate ou toutes les manoeuvres doivent se faire un rythme plus élevé. A compléter avec des choses de croisière (mouillage,prise de coffre,lecture des cartes,etc....).

@flora, « jamais de formation à la compétition » message plus haut mais réponse malencontreusement décalée. Stages « racing perf » dans les années 90. Supports : deux first class 8 pour tourner autour de trois bouées toute la semaine, parfois du match racing sur des glenans 5.7 quand impossible de composer deux équipages complets par manque de stagiaires. Dans le cadre de ces stages j’ai même participé deux fois aux 24 heures de Thau !

Fait avec des Mono qui n’ont jamais fait de régate?

Je taquine Flora

Mon frère aîné a des souvenirs aimé de sa formation au match racing sur les surprises de la base glenans de marseillan

Pour ma part, aimant la voile pour le côté tranquille , de retour à la nature, assez contemplatif voir solitaire, j'avais entendu parler de l'école des glenans, comme de " l'école de vie, école de voile exetera ", et pour moi qui ai toujours détesté l'école et les groupes, ambiance "colonie, communauté et autres troupeaux, ça ne m'a pas vraiment donné envie, même si j'ai hésité quelques temps à m'y inscrire pour un stage pour progresser , mais finalement vu les échos que j'avais lu, parfois très négatifs sur les Glénans (certains moniteurs incompetents, ou arrogants, stages peu formateurs etc) ça n'a fait que confirmer ma décision . J'ai préféré apprendre à me perfectionner au fur et à mesure, parfois en équipier avec un proprio au début, quelques cours particulier de base avec 2 moniteurs de clubs de voile, puis en louant des petits voiliers , dériveur ou petit habitable, puis sur mon propre bateau pour continuer à avancer . J'ai quand même fait l'erreur de tenter un stage avec un skipper indépendant pour un stage de groupe embarqué 5 jours à 3 personnes, je suis tombé sur un connard sans respect, et ça n'a fait que me confirmer dans mes choix de definitivement arrêter les écoles, stages et et tracer ma route sur les flots à ma façon ;)

Mince ! Est-ce que tu te rends compte que tu es sur un forum "communautaire" !? Comme quoi ça a du bon, non ? 😁

Quoique que l'on en pense, le "+" de la méthode de Creek c'est qu'il n'a pas l'effet de saut dans le vide en se lançant dans une 1ère sortie sans l'accompagnement d'un instructeur. L'encadrement produit un effet pernicieux à se dire que de tte façon si ca merde il y aura quelqu'un pour rattraper le coup. C'est comme certaines stagiaires avec qui j'ai navigué qui avient beaucoup fait de sorties avec leur père ou compagnon, mais ceux ci avaient malheuresement toujours refusé de leur laissé la main, résultat les années s'écoulent mais les filles n'arrivaient pas à acquérir une autonomie. Le "-" de la voie autodidacte c'est de faire des raccourcis et des mauvaises interprétations dans la compréhension théorique et pratique. Certains conscient du risque vont corriger en conséquence en échangant des compétences avec d'autres, d'autres ne le feront pas ou ne se rendrons pas compte de leur faiblesse. C'est plus une question de mentalité que d'instruction d'ailleur, même des hauts diplômes, peuvent se faire avoir et penser que la voile c'est facile et se résume à une dizaine de notions principales. Alors que non, ce n'est pas si simple que ça et il y a pas mal de subtilités.

Je fais un stage dans 3 semaines (Marseillan) .. je vous ferai mon compte rendu détaillé :)

J'ai fait mon 1er stage catamaran en 2002 à Marseillan niveau 3 Hobie Cat Pacific...comme les autres stagiaires je n'avais pas le niveau pourtant j'avais appris le cata en 10 leçons... vu sur Voiles et Voiliers! et retournés pas mal de HC 16 et 18 Formula..mais cette semaine là,la tramontane était forte et les dessalages nombreux,à cette époque,on faisait les courses en ville pour les repas,l'année d'après c'est une maitresse de maison qui tenait le stock,mais on faisait toujours les repas ,vaisselle...j'ai connu l'époque de la grange avec les lits superposés,l'étage en bois..parfois le matin tu trouvais un soutien gorge dans ton sac ouvert...aujourd'hui c'est tout rénové,le conseil général..ont financés. J'aimais bien par la suite les stages sur Surprise couplé avec l'Open 5.70 surtout en bord libre sans le mono à se tirer la bourre,virer à la voile dans le canal,toujours une amarre à poste pour se faire remorquer au cas où (pas de moteur) Bon porter constamment le gilet de sauvetage c'est le credo..après un repas tous les catas attachés au milieu de l'étang de Thau sans vent j'avais quitté gilet et combi pour prendre le soleil...et le mono qui voulais que je le remette pendant la mini sieste...je lui est dit de regarder ailleurs...il était furax...car j'étais sous sa responsabilité... risque zéro...de mon avis. En tous cas il faut souligner l'effort de bénévoles qui viennent entretenir les voiliers quelquefois entre midi et 14h... J'ai fait aussi stage embarqué Sunfast 32 en Corse et Dufour 325 à Sète. De bons souvenirs ,après sur un mini stage avec une autre école en First 31.7 sans gilet ...tu as l'impression d'être un peu nu ! Ah oui, pour aller à la base, il faut traverser le canal avec une barque et tout le monde de te crier faut faire la godille...moi debout avec l'aviron j'arrivais avant eux...alors là du coup t'avais plus l'air d'un con ! .

Mon rêve quand je suis rentré au glénans, c'était d'être le premier à hisser les voiles..... mais il y tellement de chose à apprendre et à faire avant d'en arriver là, qu'il faut rester humble envers soi même, les stagiaires et les (excellents) moniteurs. Cela n'a rien à voir avec la vie de tous les jours, où, soit l'on commande, soit l'on exécute. Pour résumer, l'école de voile des Glénans c'est apprendre la voile en toute liberté....

Mais la mer et le vent commandes; alors la liberté est bien cadrée 😊

Clairement nous n'avons pas eu la même expérience. J'ai fais un stage à paimpol en 2018, on a eu zéro liberté, tous les élèves mis au pas, pas le droit de moufter. Pour moi qui pensais qu apprendre la voile pouvait être ludique, j'en suis sortie en me disant que c'était à vous dégoûter de la voile.

Quelquefois il faut savoir renverser la table...mais il faut des équipiers solidaires...heureusement pour moi tout s'est toujours bien passé.

Non... et alors ? c'est grave docteur ?

j'ai eu fait il y a 55 ans et meme moniteur! pour moi à l’époque c’était le Oxford de la voile c'etait l'epoque des, Vianney, et de J l, Goldsmidt, ça ma marquè pour toute ma vie dans le contacte avec la mer, c’était très loin du club med, naviguer vers l'Irlande sur la ,sereine, par forçe 9/ 10 faisait le tris! par tous les temps on partait Avec un vaurien le safran et la derive au fond du bateau il fallait se débrouiller pour quitter la plage !à DRENEC IL y avait un tres haut mat avec un nid de pie en haut à tour de rôle on montait pour assurer la veille, l'archipel à l’époque était désert quelques pécheurs et un mousquetaire ou un muscadet qui passaient de temps à autre des yachts pour nous! le soir on démolissait de vieux thoniers echouès sur la plage pour faire du feux dans la cheminèe le soir à table c'etait souvent boudin noir et nouilles avec cruche de cidre les premiers soirs beaucoup de jeunes stagiaires etrangeres avaient le spleen et pleuraient ,il n'y avait pas de frigos on enterrait la viande dans des sacs plastiques pour eviter les rats; au pieds on avait tous les fameuses meduses en plastique les dockside n'etaient pas encore nèes, et à la fin des stages on allait à la "bigorne" un thonier echouè qui servait de boite de nuit je ne sais pas si c'est mieux maintenant avec ces centaines de semi rigides et jets mais perso je ne fais plus mes pelerinages qu'en hiver on peut y retrouver nos vieux fantomes......

Hé bien, encore un qui a évité de peu le scorbut, le pain rance infesté de vers et la viande pourrie.. incroyables rencontres sur hissetho.. 😂

pour escobar j'ai jamais mangè de viande pourrie et le pain qui lui n'etait pas enterrè arrivait tout les deux jours par la vedette "le chose"

Beaucoup d'avis très négatif pour la plus grosse et plus vieille école de voile de France.

En même temps, les jeunes et les gens qui sont ravis ne viennent pas se plaindre. Statistiquement il y aura plus d'avis négatif.

Mon expérience des glénans c'est beaucoup de jeunes, un moniteur souvent jeune, des bateaux fatigués et des voiles généralement K.O par les très nombreuses mauvaises manipulations des débutants. C'est ambiance "colonie de vacances". Mais, quand on est jeune, une excellente ambiance, avec beaucoup de miles, beaucoup de délire et très très fun (avec aussi beaucoup de bruits le soir, mais bon, je me dis toujours que c'est mieux qu'ils fasse de la voile plutôt que de prendre de la drogue dans un appart a Paris avec la musique a fond). Au niveau pédago c'est un peu, beaucoup, voir pas du tout, structuré, avec des moniteurs bénévoles. Donc en fonction du stage soit on a un moniteur dans la déconne, soit un militaire en puissance, soit un anxieux, soit un future grand professeur, bref c'est la loterie.

Pour les 30-40naires, l'UCPA est très bien aussi, c'est ni trop vieux ni trop jeunes, après c'est ambiance UCPA donc généralement plus orienté sportif que "la voile c'est tranquillou".

Pour les vieux, qui cherches plutôt du confort, l'école de la Macif est plus indiquée, avec un fonctionnement plus pro, des skippers pro comme moniteur, et un peu de livret et de contenu pédago, et finalement un "partenariat" avec Dufour pour avoir des bateaux neufs régulièrement. Et c'est pas beaucoup plus cher que chez les glénans.

Le petit bémol de la Macif c'est le choix de grand voilier > 40 pieds qui seront moins réactifs aux changements de réglages, donc moins pédagogique. Par contre, les moniteurs sont des bons, c’est certain.

Après 4 années de coopération comme enseignant au Dahomey (Bénin aujourd'hui), à 24 ans, j'ai fait 3 ou 4 stages de suite aux Glénan avant de suivre les formations de l'Ecole des Chefs de Base , qui a précédé l'Institut Nautique de Bretagne, et me réaliser dans un parcours professionnel allant de la base nautique d'une maison de jeunes, à la formation de cadres à l'Ecole nationale de Voile, à la gestion, animation, exploitation, conception et aménagement de port de plaisance et plus tard d'équipements publics porteurs d'avenir et aux services des clients usagers.

voilà ce que m'ont permis les Glénan dès 1966.

Aux Glénan on ne vient pas apprendre la voile mais découvrir la vie autour de ce que la mer offre comme possibilités. C'est une approche globale qui permet de développer sa propre personnalité en réalisant ses envies et ses rêves. On peut y trouver ce que l'on vient chercher. Mais il ne faut pas attendre que çà vous tombe tout cuit...

Se mettre en situation fait découvrir beaucoup si l'on a un peu de réflexion... C'est ce que permettaient les stages aux Glénan. Mais il a fallut s'adapter à l'évolution des gouts et des pratiques, voire à la modernité qui bien souvent fait oublier l'essentiel.

Dans ce forum, un gas s'est fié à son GPS au sud ouest de Hoedic dans une zone mal pavée et s'est planté alors qu'une navigation par alignement était le seul gage de sécurité .

Bonjour, ma seule expérience de l'école des Glénan a été un de leurs bateaux qui s'est amarré à couple du mien, tout le monde a traversé mon bateau en avant du mât pieds nus en débarquant, pareil en rentrant, et on a passé une soirée sympa en discutant jusqu'à des point d'heure en buvant ce qui me restait de rhum. Ils ne m'ont même pas réveillé en appareillant au petit matin, simplement quand je me suis levé, ils n'étaient plus là. VdB

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STUDENT FAQ and SUPPORT (no login required - your answer will be emailed to you)

How does the catamaran endorsement and catamaran qualification work print.

Modified on: Mon, 8 May, 2023 at 8:23 AM

How do I gain a Catamaran Endorsement or Qualification.

Our definition of a catamaran in this case is 38 ft (11.5m) or greater

For Yacht Charter Companies to recognize your Catamaran Competence, you need to have adequate sailing knowledge, practical experience, and skills AND some of which must additionally be on a Catamaran to be considered competent to skipper a catamaran on a sailing vacation. You cannot simply rock up to a yacht charter base touting that you have 20 years of sailing experience on a monohull and expect to be sent off on a catamaran. You'll be forced to take out a skipper for a day or perhaps the entire week. Thus, you should prequalify your sailing resume as to catamaran worthiness prior to your arrival at base.

NauticEd issues either of a Catamaran Qualification or a Catamaran Endorsement based on the below. Either of which will be represented on your sailing resume and prequalify you for catamaran rental. With a caveat - size matters! There is a big step from 38 feet to 52 feet when it comes to catamarans. Your resume still needs to reflect relevant experience within 10ft (3m) of the boat you are renting. Some yacht charter companies may still require a "check out skipper" for the first half day. This is why it is imperative that you, yourself, feel confident and competent that you can handle a Catamaran of the size you intend to rent.

You can gain a Catamaran Qualification by 

(i) completing the NauticEd Catamaran Sailing Confidence course online 

(ii) logging at least 3 days as skipper or 7 days as crew on a 38 ft (11.5m) or greater sized catamaran 

(iii) being Bareboat Charter Master Rank with level III experience

You can gain a Catamaran Endorsement by 

(ii) successfully complete an on-the-water half day (4-5 hours) Catamaran Endorsement assessment on a 38 ft (11.5m) or greater sized catamaran with a NauticEd Assessor.

(iii) being Bareboat Charter Master Rank with level III experience  

The difference being that a Qualification means you have enough experience to automatically qualify without an on-the-water assessment whereas an Endorsement means that you have been assessed on-the-water as to your competence and successfully passed. The endorsement is considered of higher value because of proven competence.  

For both Catamaran Endorsement and Catamaran Qualification, your SLC License will reflect that you are Catamaran Licensed. Here is an example of the SLC card for either Cat endorsed or Cat Qualified.

Level III in NauticEd language means that you have logged into your free electronic logbook 50 days of sailing experience which includes 25 as master of the vessel and 25 on a vessel greater than 28 ft  - 8.3m; some or none of which will be on a catamaran. Regarding chartering a monohull yacht on a sailing vacation, this (along with adequate theory knowledge) qualifies you to be able to rent a boat that is up to 10 feet greater than the largest size of boat you have sailed 5 times. All charter companies agree with this philosophy although some will let you slide with a little less. Regarding chartering a Catamaran on a sailing vacation, a similar philosophy applies meaning that plenty of monohull experience counts - i.e. Level III. The Catamaran Endorsement or Qualification allows you to reach over the required Catamaran experience threshold by the yacht charter companies.

Note: The above resume and Qualification/Endorsement requirements are developed from our real live experience in working with global Yacht Chartering companies. NauticEd is also a  yacht charter agency  and thus we have first hand experience in what yacht charter companies require for a resume. Many potential charterers are turned down due to an insufficient resume despite holding "certifications" from other education companies. At NauticEd, we are considered the experts and charter companies call us asking for advice on setting the minimum standards.  Thus, our certifications are designed such that when a student holds a NauticEd certification, the yacht charter company accepts it as proper education and experience to be accepted to charter.

Here is our blog article on upgrading to sailing a catamaran

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Zuri 3 - Crewed Catamaran Charter

Zuri 3 $23,180.

Zuri 3 Image 1/26

Layout of Zuri 3

Aft Dining Area

Primary Suite

Guest Suite

Guest Bathroom

Zuri 3 Image 11/26

Zuri 3 Image 13/26

Zuri 3 Image 15/26

Zuri 3 Image 16/26

Water Toys Galore

Floating Dock

Zuri 3 Image 19/26

Zuri 3 Image 20/26

Crew of Zuri 3

Captain Andre & Chef Jana

Sample dish on board of Zuri 3

• From $23,180 / week
• Catamaran + 2 crew
• Summer Port: Cruising Areas Summer: Bahamas Summer Port: Bahamas Winter: Bahamas Winter Port: Bahamas Prefered Pickup: Nassau, Bahamas Other Pickup: Marsh Harbor ">Bahamas
• Winter Port: Cruising Areas Summer: Bahamas Summer Port: Bahamas Winter: Bahamas Winter Port: Bahamas Prefered Pickup: Nassau, Bahamas Other Pickup: Marsh Harbor ">Bahamas
• Length: 54 ft / 16.5 meters 54 feet 16.5 meters
• Guests: 6 in 4 cabins
• Builder: Bali Catamarans
• Built: 2021
• Offers Rendezvous Scuba Diving only

$24,400 $23,180

All Inclusive

• Reviews (4)

Zuri 3 Description

Zuri 3 is a Multihull of the Year award winning Bali 5.4, 2021 built catamaran. This luxury sailing yacht offers an open space main salon and lounging area and boasts a one of a kind beach club aft-door, creating a free flow feel with 360 degree views on charter. With daybeds covering the large foredeck and an additional dining table situated outside, sundowners & appetizers have never been more appealing. Our flybridge is complete with seating arrangements for guests as well as a large daybed for optimal sunbathing as we set sail between the idyllic Bahamian Islands. Zuri 3 is equipped with a wide variety of water toys, including underwater scooters, snorkeling gear for all ages, SUPs, see-through kayak, a 10-by-10ft floating platform that can be towed behind our tender to enjoy drinks & snacks whilst moving through the canals, beach games and floating noodles. Our captain is an avid fisherman and will ensure fishing between the islands as well as spearfishing and lobster diving. Following a full day of excursions and water activities, be treated by craft cocktails and international cuisines crafted by our chef meeting all the needs of our charter guests. Zuri 3 has two master suites on offer, both with queen beds, a separate day head and ensuite shower facilities as well as a third double cabin with a queen bed and ensuite bathroom. We can accommodate up to 6 guests in our spacious floating hotel with vast living spaces to ensure a trip of a lifetime.

Cruising Area of Zuri 3

Accommodations, specification, water sports, scuba diving, entertainment, green initiatives, zuri 3 crew profile.

Being exposed from a young age to broad ocean activities such as sailing, Captain Andre grew up living his passion and started his professional yachting career directly after graduating school. The past four & a half years, he gained extensive sailing experience by crossing the Atlantic Ocean three times on sailing Catamarans as a skipper. Andre worked as a Yacht Master sailing instructor at Atlantic Yachting, South Africa, as well as doing countless amounts of deliveries along the coast of Southern Africa for TUI Marine, delivering Catamarans from Cape Town-Durban-Langebaan, ranging from 40ft-62ft. Andre worked on vessels ranging from 120ft-171ft, while holding a chief officer position on charter yachts to working 6+ months as an engineer on a 120ft yacht. With a strong marine and mechanical background, Andre maintained all systems including preventative maintenance, as well as being very resourceful, affording me the ability to troubleshoot any issues which may arise at a moment´s notice. With his outgoing, high-energy, steadfast personality, Andre strives to provide every guest with otherworldly experiences that they envisage whilst ensuring a safe environment. With his skill set of fishing, spearfishing and freediving, as well as knowing all the great attractions in The Caribbean and the Bahamas to ensure an unforgettable experience for the guests. Andre provides the charter guests with a memorable video at the end of each charter to look back on their dream holiday. Jana is a passionate, adaptable, easygoing chef with a great love for exquisite service and creating stellar ambiance. A natural passion for the sea led her to pursue a career in the yachting industry. She is accustomed to the fast-paced hospitality environment and thrives on delivering unforgettable moments uniquely tailored to each guest. Being qualified in food & beverage product development, she furthered her career by gaining experience in various industries that all led to customer satisfaction. Jana thrives on decorating and perfecting spaces for guests down to the finest detail. You can be sure to find her behind the bar crafting unique cocktails and ensuring guests experience the luxury of staying on S/Y Zuri 3.

Zuri 3 Calendar

Zuri 3 reservations & port locations, zuri 3 rates / week, low price: $24,400, high price: $26,400, additional rate details, zuri 3 guest reviews, another amazing trip with andre and jana.

On Christmas Eve 2023 my teenage kids, their friends, and I arrived in the Bahamas excited to board Zuri3 for our second charter with captain Andre and chef Jana. We were so excited to be spending the week with them again. Our first trip to the BVI’s in April 2023 was a very special experience and largely incredible and unique because of our hosts. I highly recommend jumping on board and spending the week with them. The Bali 5.4 catamaran was beautiful. It was spacious, clean, new, comfortable, and well provisioned. While I thought that those criteria were most important for an enjoyable charter, we quickly learned that in fact, it was the professionalism, knowledge and kindness of our hosts that really made the trip so special. They were amazing. From the moment we stepped aboard Andre and Jana made us feel so welcome and cared for. They had prepared a custom itinerary and incredible menu based on both a conversation we had about a week before the trip and their ability to shift on the fly as our needs changed throughout the week. Every single meal Jana prepared was a gourmet experience and her bartending skills didn’t disappoint either! Andre was a great captain and quickly gave us confidence that we were in good hands. He showed us some really cool exploring and snorkeling spots that no one else seemed to know about and was attentive to the kids (and me) if we needed help with our gear, going paddle boarding, fishing, or were unsure about anything else. He was also an excellent teacher. Trip number 2 was another big success, and we can’t wait to get back down to the islands to see them again soon! Ian G and Family, April and December 2023

January 2024

We have gone on a catamaran cruise through the Virgin Islands for a family trip a few times and have found that the Captain & Chef can definitely make or break the trip. Luckily for us, Captain Andre & Chef Jana made it one of our favorite and most memorable family trips we’ve ever had! Captain Andre always kept us on our toes with both new and familiar experiences. He tailored everything to our preferences and suggested great activities/locations that we had never experienced before (just don’t ask to see his dance moves). His personality and expertise in yachting kept our whole family engaged, active and begging to stay another week. Chef Jana will blow you away from the first meal that is prepared upon arrival to her specialty drinks and every snack and meal to follow. One of our family members is gluten free and Chef Jana always made sure she had her own special meal, if necessary. Jana has a keen eye for guest preferences and flawlessly tailored each meal to our family’s taste. She is also highly organized and keeps the boat clean and comfortable throughout the trip. Andre & Jana make a great team and went above and beyond to make our trip fun, exciting and unforgettable. Their hospitality was through the roof and they always made sure we were laughing & having a good time. Their knowledge of the islands, maritime skill and caring approach made this trip the best we’ve ever been on. They are the best duo to have and all around great people! We were so fortunate to have had them lead our cruise and remain in contact with them to this day. We could not recommend Captain Andre and Chef Jana enough and will most definitely be back on a trip with them as soon as possible. Any group who books a charter with them is in for the trip of a lifetime!

We just returned from the best vacation ever! Our very capable captain, Andre, and chef/first mate Jana, were just wonderful - they radiated warmth and welcome and worked seamlessly together to make sure our every moment aboard was the best it could be. Jana´s meals were beautifully presented and absolutely delicious and she kept the tropical cocktails flowing! Can´t wait to plan our next adventure!

January 2023

If you have not sailed on a Bali 5.4, you should. We have chartered numerous cats and own a Lagoon. Bali has really done something special with the way they have opened the boat up with the 5.4. We had 4 couples plus the crew onboard and you always felt like you had a place to socialize with all 12 people or find your alone time. The captain and chef, Andre and Jana, were fabulous. They made you feel like family and took super great care of us. The food was tremendous. The sailing was incredible (very awesome having a captain that actually wants to be involved if you want.) The itinerary was great, captain gave recommendations based on the weather but left it up to us. Captain Andre steered us to super fun little hangouts that I didn´t know about in the USVI or BVI even though I thought I knew the area well. The Bali 5.4 makes the trip, it is an incredible boat. It was extra special because of how well this boat was kept, and the crew. The captain would routinely ask/suggest that if we wanted a happy hour swim platform he would lower the hydraulic dinghy platform and move the dinghy to the side, giving a perfect play area (actually at any time of the day, but at happy hour having it just above the water line helped keep the drinks above the water line.) I can´t say enough good things about chef Jana. The main reason to crew a boat is to take away all the hard jobs, and she made putting out fabulous meals and snacks look easy (as we all know it is not.) She also handled our group of extremely varied dietary requirements very well. It was a trip of a lifetime and I would do it again in a heartbeat.

Zuri 3 Sample Menu

Breakfast menu (same for every day).

CONTINENTAL BREAKFAST

Homemade granola Fruit platter – add mint and lime zest Yoghurt/plain/Greek style Honey Croissants/pan chocolate/pastries available/OR muffin of the day (Blueberry crumble, apple and cinnamon, feta and spinach, 3-cheese muffins) Preserves (variety of 2) Cheese platter (variety of 3 cheeses) Charcuterie/parma ham, Italian salami, smoked ham Fruit juices/fresh Coffee/tea

BREAKFAST TO ORDER

English breakfast (egg to order, crispy smoked bacon, pan-fried tomato and beef sausage) – served with toast to order (white or wholewheat) 3 egg omelette – with two fillings/choose from: mature cheddar cheese, bacon, feta, caramelised onion, mushrooms, brie cheese slices Egg Benedict a la Jana: Toasted English breakfast muffin, with basil pesto (optional), smoked ham, pan-poached egg to order and drizzled with a mustard and cheese sauce

Egg Benedict with salmon: Toasted English breakfast muffin, with dill mayo, smoked salmon, pan-poached egg to order and drizzled with a cheese sauce

Avo on toast – toasted ciabatta with smashed avo, pan-fried baby tomatoes, rocket and poached egg to order

Pancakes with berries and crème fraiche – yoghurt crumpets/pancakes – drizzled with honey and add berries and crème fraiche – If berries are not available – use chocolate sauce (use real dark chocolate and cream to make ganache/sauce) and banana with crème fraiche (*recipe attached)

French toast – drizzled with honey/maple and served with crispy bacon Power oats – oats cooked with milk, chopped dates and honey. Serve with Greek yoghurt, macadamia butter dollop, honey, blueberries and poppyseeds

Lunch Prosciutto, Pear & Gorgonzola rigatoni – served with a light salad

Dinner Salmon ceviche – on baby salad leaves and lemon Grilled catch of the day, smashed baby potato bake, Greek salad Lemon Posset with blueberries

Lunch Spicy fish tacos with slaw and lime mayo

Dinner Gazpacho (cold tomato, cucumber and red pepper soup) Rack of lamb with rosemary and olive crust – served with creamy mashed potatoes and mushy peas OR sautéd tender stem broccoli and corn with lemon butter and toasted almonds Vanilla panna cotta with seasonal berries and coulis

Lunch Greek meatballs with pitas, tzatziki, olives and tomato salsa

Dinner Caprese salad with burrata, balsamic reduction and basil Barbeque lemon butter prawns – with green salad and spicy potato wedges or spicy rice Crème Brulee

Lunch Asian Poke Bowls (sushi rice, salmon/sashimi, edamame beans, carrots, pickled ginger, avo, sesame seeds, Asian dressing)

Dinner Creamy garlic scallops Spatchcock chicken with chimichurri sauce and roasted variety of sweet potato Variety of fruit sorbets (3)

Lunch Lemon chicken with pearl couscous salad

Dinner Burrata with Parma ham and melon Grilled lobster with a seafood mayo aioli, pan-fried tender stem broccoli and asparagus with lemon butter and roasted flaked almonds, smashed baby potato bake Soufra (phyllo pastry swirls baked with lemon custard and blueberries) – dusted with icing sugar and served with fresh blueberries

Lunch Chicken mexi buddha bowls – chicken, fajita veg, corn and black beans, avo, bulgar wheat or quinoa

Dinner Grilled courgette or aubergine rolls with ricotta and herbs – on a fresh homemade tomato sauce Beef fillet served with burrata, tomato and caper salad and potato wedges OR crispy oven baked potatoes Classic chocolate pots

Lunch Chicken Satay skewers with Asian slaw

Dinner Brie or Camembert and preserved fig parcels with phyllo pastry Grilled prawns with a spicy turmeric and coconut cream sauce, served with rice and pan-fried vegetables (pak choi, mange tout peas, baby corn, shallots) Pineapple semi-freddo with raspberries and toasted coconut

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$26,700 / week

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Winter Port: Nassau & Exuma Islands, Bahamas

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$20,000 / week

Length: 48 ft (14.6 m)

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Winter Port: Bahamas

Prices from: $20,000 / week

Whispers II

$22,000 / week

Length: 56 ft (17.1 m)

Prices from: $22,000 / week

Yachting World

• Digital Edition

Three hulls better than two – how the Neel 51 trimaran is challenging its many twin-hulled competitors

• Toby Hodges
• June 6, 2017

The Neel 51 may have turned plenty of heads at La Grande-Motte boat show in April, but can three hulls really offer the style and accommodation expected these days of a luxury performance multihull?

Neel has found a clever niche offering the performance benefits of a trimaran with the type of accommodation offered in a cruising catamaran. This new trimaran, the Neel 51, was the most talked-about multihull at La Grand-Motte boat show in April, and of the year so far.

The La Rochelle company argues its trimarans are more stable than cruising catamarans. Cats, it says, reach their peak righting moment at 12º heel, beyond which sail needs to be reduced.

That peak for a tri, however, is not until 27º heel – an unusually steep angle for cruising. Neel also argues that trimarans are faster, particularly upwind, thanks to a more rigid forestay (attached to centre hull) and more central weight management.

The Joubert-Nivelt design incorporates the best assets of Neel’s previous 45 and 65 models – that of performance and comfort in a bluewater family yacht – and adds even more space for its size.

The Neel 51 is quite a beast in the flesh. Her 9m beam (26cm wider than a Lagoon 52) helps support Neel’s signature coachroof design above the hulls and contributes to sumptuous living space.

Fine reverse bows give confidence in her ability to perform. Neel argues the 181sq m upwind sail area on the 51 is larger than any other equivalent cruising cat – yet its 107sq m usable space (living and storage combined) is much larger than competitors too.

This design primarily targets living space however. A focal point of the 51 is its sliding doors that stow away completely to leave an open, single-level cockpit and interior saloon. It is a concept that Neel has dubbed ‘cockloon’ – a strange-sounding word that fails to significantly differentiate this from the likes of catamarans by Bali and Nautitech, which are also based on these open designs.

The word does, however, help draw attention to a wonderfully large inside/outside saloon area. Neel President Eric Bruneel pointed out how the stiffness of three hulls allows for such a wide open bulkhead.

“We really wanted to have the cockpit working with the saloon,” he told me. Unfortunately, the downside of his ‘cockloon’ solution is the small external cockpit space.

The main deck level includes a vast galley forward (with prime views), and, as per past Neel models, the owner’s cabin shares this amazing deck-level outlook. The other three double cabins are all large and each comes with its own heads. Two forward berths can also be specified.

I particularly appreciated the mechanical/engine room below the saloon. It is like a ship’s engine room, with 7ft headroom, plumbing on one side, electrics to the other and the single saildrive contained in its own area aft. Bruneel argues that one prop pushing one hull is more efficient than typical catamaran set-ups and says the 75hp saildrive propels her at a cruising speed of 9 knots.

Fitted-out on the water the Neel 51 weighs 15 tonnes – over 10 tonnes lighter than the Lagoon 52, but a similar weight to the new Catana 53. The first 51 to launch reportedly achieved 290 miles in 24 hours during the first delivery, with jib and three reefs – and will hit the mid-teens with relative ease.

Neel’s build quality has also seen much-needed improvement with this new model. The three hulls are infused in one shot. That requires ten days to prepare the 160sq m of moulds for a two-hour infusion. As Bruneel admits, it’s a big step-up in technology for them.

Neel has built 23 of its 45ft model and is now building one boat every two months in its new La Rochelle facility.

Neel 51 Specifications

LOA: 15.60m (51ft) Beam: 8.9m (29ft 2in) Draught: 1.50m (4ft 9in) Displacement: 14 tonnes

Price: €700k ex VAT

www.neel-trimarans.com

A Trusted Source For Boating Information Since 2019

A complete catamaran guide.

• Post Written By: Boater Jer
• Published: January 26, 2020
• Updated: November 27, 2020

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There you are, out on the water when a strange craft approaches.  Is it a sailboat? It sure looks like one until it turns to face you.  That’s when you notice this boat doesn’t have just one hull. It has two hulls and it’s called a catamaran.

Catamarans are unique, and highly stable watercraft.  We’ll explore all the ins and outs of sailing the waters in one of these weird, and awesome multi-hulled craft.  Join me as we explore the wild world of sailing catamarans.

A History Of The Catamaran

It is believed that the first people to use a catamaran design were those living in Australasia.

The succession of boat design in this region was actually very interesting.  The beginning of boats in the area was simple, albeit conventional rafts. These were fashioned from logs strewn together with plant fiber lashings such as those formed using bamboo fiber.  

Catamaran Evolution

The conventional raft gave way to a minimal raft.  This design was basically a conventional raft with two cross beams added in the form of logs.  These would be eventually hollowed out to improve buoyancy.

The next step in the evolution of boats in the Australasian region was the double canoe.  This proved to be the first real catamarans.  

After some time, the form evolved further into the asymmetrical double canoe design.  In this design, one canoe was large and the other attached canoe was smaller.

The asymmetrical design quickly evolved into the single-outrigger boat like the one shown in the photo below.

The final stage of the evolution of the catamaran in the region was to gain a second outrigger.  This in effect created the trimaran with the single central hull and dual outriggers.

Eye Witness Accounts Of Catamarans

In 1697, William Dampier wrote of witnessing a type of seafaring vessel off the coast of Coromandel.  He noted how the locals called the type of boat a catamaran. He also noted that it had multiple hulls (logs) and that they were small vessels that the person operating would have to hang partway into the water, straddling the hull (log).

The name catamaran came from the Tamil.  And yet, it was easily applied by the European visitors to the two hulled sailing vessels that sped across the water in the region.

Although Dampier may have described the catamaran in the 1690s, the type of boat was actually used as early as the 5th century by the Tamil Chola dynasty.  They used boats to move their troops from one island to another. Using this design of boat allowed them to travel heavy, travel quickly and was partially responsible for the conquering of neighboring Burma, Malaysia, and Indonesia.

Building A Boat – Basics Of Catamaran Construction

A boat is usually thought of as being a single-hulled vessel that travels along the surface of the water.  It can have multiple types, shapes, and designs of the hull. However, it is often only thought of as having a single hull.  But, what if it had two hulls? Would that be like taking two separate boats, and making a raft over both of them? In essence, that is exactly what a catamaran is:  two boats made into one.

Advantages Of Multiple Hulls

• More stability than a monohull
• Wide supporting base allows for larger sails than monohull craft of the same length
• Hull does not require the deep-running keel of a standard monohull sailboat
• Less hull drag in the water than a monohull
• Less power required to drive a catamaran forward than a monohull boat

Disadvantages Of Multiple Hulls 

• Due to multiple hulls, construction is more expensive than a monohull design
• Catamaran speed relies on lightweight materials to make a lightweight craft.  This also drives up the cost of construction.
• Extra engineering requirements for multi-hull craft also increase the cost of construction.

Conclusion?  Well, it looks to me like everything about catamarans points towards superiority over monohulls in nearly every way.  But, you get what you pay for. I think the same thing likely applies to cars too. For instance, I have a performance car that cost me about 10k more than the equivalent non-sports car within the same class. 

Yet to drive the vehicle, it performs so much better than the normal version of the car, it really speaks volumes to the difference between a common vehicle, and a performance one.

Speaking of performance vehicles, let’s take a look now at the different kinds and uses of a catamaran.

Catamaran Types

Commercial catamarans – ferries.

One of the most common uses for a catamaran is the commercial use of the vehicle design when it comes to ferries.  This is likely due to the wide, flat deck possibilities of a catamaran versus a monohulled boat. Not only that, but the catamaran is also a much more stable bodied vessel.  This again makes it a superior design for transporting larger land vessels like trucks and so forth. They can easily drive on the ferry without fear of the ferry tipping over.

Some ferries are designed for taking vehicles, like the one you might find in the city of Toronto.  Where it transports cars from the mainland to Toronto Island. Others are designed specifically with the sole purpose of transporting people. I took a look at one such ferry that operates in Germany.  Take a look at the following case study.

Commercial Use Case Study – The Ferry

The FRS Helgoline is a ferry catamaran operating out of Flensburg, Germany, close to the Danish border.

According to the ferry company’s website, the ferry runs using four main engines which are run to a capacity of 12,182 hp combined.  This blasts this ferry at a speed of 35 knots or 65 km/hour. This is equivalent to 40 miles per hour. That’s pretty good considering the size and weight of the ship body this catamaran can carry.

Speaking of capacity, the ship can carry 680 passengers. At 56.4 meters long (185 feet) by 14 meters wide (45.9 feet), that’s a decent passenger capacity. 

Catamaran Passenger Capacity Versus Monohull Boat Passenger Capacity 

The general rule for calculating passenger capacity for a boat is as follows.

Length x Width / 15 = Passenger Capacity

Therefore, the FRS Helgoline should have a calculated capacity calculated as follows.

185 x 45.9 / 15 = 566  

But it actually has a capacity of 680 which is a 20% increase in capacity over a standard monohull.

For comparison, let’s look at a superyacht.  A 48.5m (159 feet) long by 10.7m (35 feet) beam (width of the boat) Palmer Johnson Supersport 48 (valued at about $28.5 million dollars) should have a capacity calculated as follows.

159 x 35 / 15 = 371

In short, 26 feet of difference in length equates to 309 fewer passengers.  It is almost half of the capacity of the catamaran at 26 feet longer length.

Photo courtesy of https://sysyachtsales.com/

Commercial Catamarans – Service Vehicles

Although Catamarans are typically used as ferries due to their stability and ability to carry wide loads on their flat decks, there are many different service catamarans out there as well.  From a support vessel to a crew transfer or search and rescue, catamarans are a solid and stable platform to build a ship on.

This is the Ardea which is a 20 meter (65.6 feet) catamaran to be used for crew transport and as a support ship.  This ship was built by the Echo Marine Group and delivered to Western Australia in early 2019. This particular vessel is in the service of the Cape Preston Sino Iron Project.  

Catamarans are used all around the world, for a variety of tasks, not just ferries or support craft.

Commercial Catamarans – Cruise Lines

Now these are the catamarans we all want to be aboard, aren’t they?  Due to the wide stance, these ships can feature massive halls and wide-open interior areas.  These ships are stable, and some would say even more stable and safer than monohull design ships.  

There are many cruise ship catamarans in use today around the world.  Some of the more ‘famous’ catamaran cruises are those which investigate the Galapagos Islands.  There are several high-end, small fleet, cruise lines operating to the Galapagos which utilize catamaran design vessels as their primary ship type. 

These ships can be extremely comfortable and stable and often offer some reprieve to those who may otherwise feel seasick. It won’t stop the feeling, but the more stable the hull, the less the boat rocks around.

Military Catamarans

Catamarans make excellent military transport vessels.  They are stable and the potential to have a large, flat and wide deck for transporting land craft, troops or acting as a landing pad for vertical take-off aerial craft.  The stability of the two hulls makes the vessel an excellent candidate for military use, and thus it is used for said purpose.

As you can clearly see in the image of the USNS Spearhead, the rear of the vessel has a moveable ramp that can be used for loading and unloading land vehicles.  The interior bay of the craft is visible in the image as well, a large area for storage of vehicles, supplies and more. The crane arm on the back of the ship also shows how it is a versatile craft, set up to act as an excellent support craft with a helicopter landing pad and ample storage and freight capacity.

Recreational Catamarans

Catamaran Personal WatercraftThe wind is in your hair, the warm spray from the hull cutting over the edge of each wave as you skip over the water.  That is life, let me tell you. Personal watercraft have come a long way over the years and the small one, two, three and four-person catamarans have come a long way as well. 

Depending on the options, you can get a small one or two-person catamaran for as little as $1500 new.  That might be an inflatable though. There are some very nice, rigid hull designed catamarans for 1-4 people that range from $3500 to $15000.  And these are basically open, personal watercraft like that shown in the image below.

Using a small catamaran can be quite challenging to learn at first.  Sailing is not for the faint of heart. It requires skill, technique, knowledge of the wind and sea, and a bit of hard work.  But it can be fun, rewarding and a great way to catch some sun and fresh air out on the water. It’s a relatively GREEN sport as well.   Given the use of sails over gas-powered motors that is.

‘Sailing Cats’ – Sailing Catamarans – Yacht & Luxury Class

Here’s where we get into the dreamy boats of the rich and famous.  I priced out a small 43’ luxury Leopard 40 sailing catamaran. Even before I added any extras at all, the base price was $399,000 USD.  I imagine if I added a few of the multiple extras available, and some tax, freight and that sort of thing, I’m easily in half a million dollars.  And that’s the smallest base model.

There are all kinds of luxury catamaran shipbuilders across the world.  From Asia to Europe and The Americas, it seems any major boating country has at least one company building luxury catamarans.  It’s weird that you don’t see more of them on the water though, don’t you think?

Being sailing vessels, these luxury cats require some training in sailing before you get behind the wheel.  And considering the price point, I would definitely want to be at least a semi-decent sailor with some good few years experience under my belt before I would comfortable at the helm of a half-million-dollar sailing cat.  It’s all relative I suppose. I imagine a billionaire might bat an eye at the prospect of wrecking a half-million-dollar boat. But to me, and most of you reading this, that’s likely a lot of money.

‘Power Cats’ – Powered Catamarans

The powered catamaran is one of my favorite boats.  They have sort of a muscle car appearance with the wide and often tall front end of the boats.  I find it to be reminiscent of a large air intake on the front hood of a rally race car like the Subaru WRX, for instance.  These boats are fast, they are stable and handle very well. Catamarans are often considered the boat of choice for long sea voyages due to their stability.  

A powered catamaran will definitely cost more than a powered monohull boat of the same length.  Why? Well, the powered catamaran has one crucial downside. That is, it needs two engines. One for each of the two hulls.  Otherwise, it’s off balance for propulsion. These two engines or motors have to be in sync with each other or again, the propulsion will be off-balance.  Because they have two motors, they have double the maintenance when it comes to maintaining the propulsion system.

More components also means a greater chance of things breaking down.  In essence, it doubles the chances of the ship having a motor break down. The saving grace is that should one motor break, they have a backup, even if it does mean very unbalanced propulsion.  In contrast, a monohull vessel of the same length may only have half the chance of motor failure due to only having one motor, but if that one motor breaks, then what? Call for help, that’s what.  A cat would have a struggling chance to get itself back to port. A monohull would be dead in the water unless it was carrying spare parts or another motor onboard somewhere.

Catamaran Frequently Asked Questions

What is a catamaran cruise.

A catamaran cruise is simply a cruise on a dual hull design boat.  Often used for river cruises, the catamaran which is used as cruise ships are often considerably smaller than their giant monohulled counterparts.

What is the purpose of a catamaran?

A catamaran is a design for a boat that utilizes two hulls.  Due to the flat, platform-like-potential for the deck of the boat, the catamaran is often purposed with transporting materials, vehicles, and people.  For instance, catamarans are quite often used as ferries.

Is catamaran safe?

Catamaran are very safe water craft.   The design of riding on two hulls separated by a gap in between, in essence is like giving a car a double-wide wheel base.  The wider the stance, the more stable the craft, from side to side anyway. And if the length of the boat is proportional to the width, then it becomes an extremely stable craft.  That is why catamarans are often considered the best to be used for long voyages. Yes, catamaran are safe.

What is the difference between a catamaran and a sailboat?

A traditional sailboat is a deep, monohull vessel that has at least one mast extending high into the air above the deck to hold sails.  A catamaran refers to the design of a dual-hull boat and really has nothing to do with sails. Although, catamaran do make excellent sailing boats as well, they are quite capable of acting as power boats and do not require sails if they have the correct amount of powered motors to propel them.  Sailboats, although also able to be powered if a motor is provided, are traditionally monohull and wind-powered exclusively.

Do catamarans have small interiors?

The size of an interior cabin on a boat is typically proportional to the size of the boat itself.  If a catamaran has above-deck cabins, they will likely be able to be of a larger design than those you would find on deck of a monohull boat.  This is because a catamaran has a much wider footprint than a monohull boat of the same length. This extra width would allow for larger on deck cabins.  

How much does a catamaran cost?

A personal watercraft (1-2 person) inflatable catamaran will run you anywhere from $1500-$12000 USD, depending on the quality and features.  The rigid hull catamarans of the same size start at about $4500 USD.

A small cabin cruiser type of catamaran will typically start at about $60000 for a small base model and the price just goes up and up depending on size and features.

For Instance, a 40’, 3 cabin with 1 washroom cat will cost you about $500,000 USD for the base model.  They are considerably more expensive that a monohull of the same length. However, the trade-off is greater stability and a smoother, more comfortable ride.

Is a catamaran more work to maintain?

Technically yes.  Due to having two hulls and if powered, two motors and likely also water jets, this means you have double the oil changes of a boat that would have a single motor.  Once you get past the basic engine and hull maintenance, a catamaran is not that much more work than a monohull ship of the same length.  

The trouble with catamarans in terms of maintenance, is that once they reach a certain length, the width becomes more than a standard lane on the road.  That being said, if you ever need to transport the boat via land, it can be quite the challenge. Especially if you need to pay to have a police escort for an extra-wide trailer.  And special licensing might be involved as well.

What is the difference between a catamaran and a trimaran?

A catamaran is a dual hull boat.  In other words, it has two hulls. A trimaran has three hulls.  

Is a catamaran considered a yacht?

According to Oxford dictionary, a yacht is a medium-sized sailboat equipped for cruising or racing.  A catamaran, on the other hand, is a boat with two hulls. Therefore, a catamaran can most certainly also be a yacht.  And likewise, if a yacht has two hulls, then it is a catamaran as well.

Can you get seasick on a catamaran?

Seasickness occurs when a person feels nauseous from the swaying motion of a rocking ship.  These feelings may be lessened on a catamaran, due to their extra stability. However, a catamaran may be slightly more stable than a monohull of the same length, but it is still a boat.  And it will still make someone who experiences seasickness continue to feel the ill effects.

Are catamarans more stable in rough seas?

Catamarans are known to be more stable than monohull ships of the same length.  This is why catamarans are often the ship type of choice for long sea voyages due to their stability.

Why do catamarans capsize?

Catamarans are not known for capsizing.  The larger vessels that is anyway. But, it does happen from time to time.  Catamarans are known for their stability, so typically if a capsize event should occur, it is typical for them to be extreme circumstances.  

Personal watercraft catamarans are a different story though.  These are in fact known for tipping over. Not because they are less stable than their monohull counterparts of the same length.  But instead, because they are able to go considerably faster than monohull personal watercraft of the same length (not including powered craft though).  This is due to the sailing cats being able to have a larger sail than a small monohull sailboat of the same length.

Due to the extra sail, they are able to travel faster than monohull sailboats of the same length.  This allows them to whip around on the water and at higher speeds, whipping your cat about quick can easily send it over sideways. Extra speed means fast turns carry momentum in the direction of travel and that extra speed equates to tipping over if turned too fast.  To sum up, they capsize due to user error or extreme events.

Which is safer, a catamaran or a monohull?

Due to the extra stability of having a wider footprint than a monohull, a catamaran of the same length is the safer vessel.

Are catamarans safer than sailboats?

The same rule applies to stability versus the length of the hull.  A cat will always be the more stable length for length. However, due to their ability to go much faster than a monohull sailboat, this kind of cancels out some of the added safety due to stability.  With that in mind, they may just be about the same but there is one generalization we can make when comparing the safety of catamarans vs sailboats: At the same speed, and of equal length, sailing or power catamaran will be safer than a monohull sailboat.

How fast can catamarans go?

The speed a catamaran can go is entirely dependent upon the hull design, weight of the vessel, the strength of propulsion (be it wind or powered) and so on.  The general rule is that in terms of sailing cats vs monohull sailboats, a cat of equal length can typically go faster than a sailboat.  

In terms of powered cats vs powerboats, a powered catamaran will typically require less energy to move forward than a monohull of the same sort of hull design (but monohull of course) and thus a cat should, in theory, be able to go faster than a monohull when both are using propulsion that is equal in power.

Bibliography

• Wikipedia – Catamarans
• Mahdi, Waruno (1999). “The Dispersal of Austronesian boat forms in the Indian Ocean”. In Blench, Roger; Spriggs, Matthew (eds.). Archaeology and Language III: Artefacts languages, and texts . One World Archaeology. 34 . Routledge. pp. 144–179. ISBN 0415100542 .
• Wikipedia – Spearhead -class expeditionary fast transport
• https://www.tiki-toki.com/timeline/entry/169516/Origin-of-the-catamaran/#vars!panel=1620923!
• https://www.austal.com/ships/passenger-express-56
• https://www.adventure-life.com/galapagos/galapagos-catamaran-cruises

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Mastering Catamaran Sailing: Essential Guide & Tips to Navigate the Waters

Alex Morgan

Sailing a catamaran can be an exhilarating and enjoyable experience for both experienced sailors and beginners alike. Unlike monohull sailboats, catamarans offer unique advantages in terms of stability and speed. If you’re interested in learning how to sail a catamaran, it’s important to understand the basics and master the necessary skills. This article will provide you with a comprehensive guide to sailing a catamaran, from understanding the fundamentals to maneuvering and handling the boat effectively.

To begin with, let’s delve into the introduction of sailing a catamaran, followed by understanding the basics of a catamaran. We’ll explore what exactly a catamaran is and how it differs from a monohull sailboat. we’ll discuss the advantages of sailing a catamaran, highlighting why it has become a preferred choice for many sailors.

Before setting sail, proper preparation is essential. This section covers the importance of safety equipment and checks, along with understanding wind and weather conditions. Planning your route is crucial to ensure a smooth and enjoyable sailing experience.

Once you’re prepared, we’ll move on to the essential sailing techniques for a catamaran. This section will guide you through rigging and hoisting the sails, tacking and jibing, trimming the sails, and controlling speed and direction. Mastering these techniques is key to maneuvering the catamaran effectively on the water.

Handling the catamaran also requires specific techniques. We’ll cover important maneuvers such as docking and undocking, mooring and anchoring, and addressing emergencies like man overboard recovery. These skills are vital to ensure a safe and successful journey.

We’ll provide you with essential safety tips for sailing a catamaran. Understanding right-of-way rules, handling rough seas and heavy winds, and maintaining balance and stability are crucial aspects of staying safe on the water.

By the end of this comprehensive guide, you’ll have a solid understanding of how to sail a catamaran and be well-equipped to embark on your own catamaran adventures while ensuring a safe and enjoyable experience.

– Sailing a catamaran offers the advantage of maximizing space with its two hulls, allowing for more comfortable living quarters and a larger deck area. – Catamarans provide a stable and balanced sailing experience, making them a safer option for beginners and those prone to seasickness. – Proper preparation, including checking safety equipment, understanding weather conditions, and planning your route, is crucial for a successful catamaran sailing experience.

Understanding the Basics of a Catamaran

Understanding the basics of a catamaran is essential for safe and enjoyable sailing. A catamaran is a boat with two parallel hulls connected by a deck. It has advantages over monohull boats. Catamarans are stable due to their wide beam, reducing the risk of capsizing . They can access shallow waters because of their shallow drafts . Catamarans also offer more space and comfort with larger cabins, living areas, and deck space.

To control a catamaran, the skipper uses the helm to control the rudders. Adjusting and trimming the sails allows the skipper to use the wind’s power and steer the boat efficiently. Balancing the sails and maintaining stability while sailing is important.

Knowing the key components, how to control the boat, and handle the sails will help you navigate the waters confidently. Whether you’re a seasoned sailor or a beginner, familiarizing yourself with the fundamentals of catamarans is crucial.

What Is a Catamaran?

A catamaran, also known as a cat , is a type of boat that features two parallel hulls connected by a platform or bridge deck. This unique design provides it with stability and speed, making it a popular choice for sailing enthusiasts. Unlike traditional monohull sailboats, a catamaran offers a wider beam , which results in more space and greater stability . As a result, the sailing experience on a catamaran is smoother and more comfortable .

There are several advantages to sailing a catamaran. One significant advantage is its shallow draft , which allows it to navigate in shallower waters that are inaccessible to other types of boats. The dual hull design of a catamaran minimizes drag and enhances speed , making it highly efficient for long-distance cruising . The spacious interior layout of a catamaran provides ample room for accommodations , amenities , and storage .

When sailing a catamaran, it is essential to consider the wind and weather conditions for safe navigation. Understanding the right of way rules and knowing how to handle rough seas and heavy winds are crucial skills for catamaran sailors. Maintaining balance and stability is of utmost importance to ensure a smooth sailing experience.

A fun fact about catamarans is that they have been utilized by Polynesian cultures for centuries, proving their effectiveness and versatility in various sailing conditions.

How Is a Catamaran Different from a Monohull Sailboat?

A catamaran is different from a monohull sailboat in several ways. A catamaran has two parallel hulls connected by a deck or bridge, whereas a monohull sailboat only has one hull. This dual hull design provides greater stability and balance on the water.

In addition, the hulls of a catamaran are wider and shallower compared to those of a monohull, allowing for a shallower draft and improved maneuverability . This also results in a higher cruising speed and faster sailing speeds for catamarans.

Catamarans also offer more interior space and are known for their spaciousness and comfort , thanks to their wider beam. When sailing upwind, catamarans experience less heeling , which translates into a smoother and more comfortable ride for passengers.

Catamarans are better suited for cruising in shallow waters and can anchor closer to shore due to their shallow draft . The dual hull design of catamarans also provides greater redundancy and safety in the event of hull damage or collision.

Unlike monohull sailboats, which typically have a keel, catamarans rely on centerboards or daggerboards to prevent sideways sliding. The main differences between a catamaran and a monohull sailboat lie in their stability , speed , comfort , and maneuverability .

Advantages of Sailing a Catamaran

– Stability: Catamarans offer excellent balance with their twin hulls, making them less likely to tilt or capsize compared to monohull sailboats.

– Spaciousness: The wide beam of catamarans provides more interior and deck space, including comfortable living quarters, larger cabins, and ample room for socializing and entertaining.

– Speed: The design of twin hulls reduces drag, allowing catamarans to sail faster and provide exhilarating experiences.

– Shallow Draft: Catamarans have a shallower draft than monohull sailboats, enabling them to sail in shallower waters and access a wider range of cruising grounds.

– Comfort: The wide beam and stable design of catamarans offer a smoother and more comfortable sailing experience, eliminating the heeling common in monohull sailboats and reducing the chances of seasickness.

– Maneuverability: Catamarans are more maneuverable than monohull sailboats, providing better turning ability for navigating tight spaces, docking, and anchoring precision.

– Sailing Performance: Catamarans excel in light wind conditions, thanks to their large sail area and light weight, allowing them to catch even the slightest breeze and maintain good boat speed. This makes them ideal for destinations with calm weather patterns.

Preparing for Sailing a Catamaran

Preparing for a thrilling catamaran sailing adventure requires careful planning and essential knowledge. As we dive into the section on “ Preparing for Sailing a Catamaran ,” we’ll explore vital aspects such as safety equipment and checks , understanding wind and weather conditions , and planning your route . Get ready to uncover expert tips and strategies to ensure a smooth and enjoyable catamaran journey on the open waters.

Safety Equipment and Checks

Prioritize safety when sailing a catamaran. Thoroughly check and prepare your safety equipment before setting off on your adventure. Consider the following important safety equipment and checks :

• Life jackets: Ensure enough properly fitting life jackets for everyone on board.
• Flotation devices: Have throwable flotation devices readily available for emergencies.
• Fire extinguishers: Have the appropriate type and number of fire extinguishers on board.
• First aid kit: Maintain a well-stocked kit for handling minor injuries or medical emergencies.
• Navigation lights: Ensure all navigation lights are functioning properly, especially for sailing at night or in low visibility conditions.
• Communication devices: Carry reliable communication devices such as a marine VHF radio or satellite phone for calling for help if needed.
• Engine and safety equipment checks: Regularly inspect engines, bilge pumps, anchor systems, and other safety equipment to ensure good working condition.

Remember, safety is crucial. Check your safety equipment before every trip and ensure proper working order. Familiarize yourself with specific safety requirements and regulations of the sailing area. By taking these precautions, you can enjoy your catamaran sailing adventure with peace of mind and be prepared for any unexpected situations.

Understanding Wind and Weather Conditions

Understanding wind and weather conditions is crucial when sailing a catamaran. You must have a comprehensive understanding of the wind direction, speed, and weather changes that may impact your sailing experience. Here are some key considerations to keep in mind:

1. Wind direction: It is essential to know the direction from which the wind is blowing. This knowledge will assist you in planning your sailing route and selecting the appropriate sails.

2. Wind speed: Pay close attention to the wind speed as it could potentially affect the speed and maneuverability of your boat. Higher wind speeds may necessitate reefing the sails or adjusting your course.

3. Weather changes: Remain mindful of any approaching storms, rain, or fog. These conditions can have a significant impact on visibility and create challenges when sailing.

4. Sea state: Take note of the current sea state, which includes wave height and frequency. Rough seas may require you to adjust your sailing technique and speed to ensure the stability of the catamaran.

5. Weather forecasts: Always remember to check the weather forecasts before embarking on your sailing trip. This will provide you with an overview of the expected weather conditions.

By possessing a thorough understanding of wind and weather conditions, you can make well-informed decisions to ensure a safe and enjoyable sailing experience aboard a catamaran. Keep in mind that conditions at sea can change rapidly, so it is essential to stay vigilant and adapt your plans accordingly.

Planning Your Route

When planning your catamaran sailing route, it is important to consider several factors for a safe and enjoyable journey. One of the first things to do is assess the weather conditions by checking the forecast for potential storms or strong winds. It is crucial to avoid adverse conditions as they can pose risks to both the crew and the catamaran’s safety.

In addition, it is necessary to identify key destinations and conduct research on navigational challenges. This will help in finding suitable anchorages or marinas along the way. Creating a timeline is also essential to plan the duration of the journey, taking into account the distance to be covered and the catamaran’s speed. It is important to remember to account for any time constraints or events that may affect the plan.

Using navigational charts, it is advisable to plot the course, noting any potential obstacles along the way. It is also a good practice to plan alternative routes in case they become necessary. Considering currents and tides is another crucial aspect of route planning. Studying tidal patterns and current directions will allow for incorporating these factors into the planning process for greater efficiency.

Another important consideration is fuel and provisions . It is necessary to determine the locations of fuel stations and provisioning points along the route. Planning fuel stops and stocking up on supplies will ensure that you have everything you need during the journey. Communication and safety should not be overlooked either. Identifying channels to communicate with other sailors and emergency assistance is vital . It is also important to familiarize yourself with emergency procedures and have access to contact information in case of any unforeseen circumstances.

It is recommended to regularly review your route plan and make adjustments based on real-time conditions and feedback. This will help ensure that you are always up to date with any changes that may occur during the journey. By carefully planning your route, you can optimize your sailing experience, safely navigate waters, and fully enjoy your catamaran adventure.

Essential Sailing Techniques for Catamaran

Mastering the essential sailing techniques for a catamaran is the key to harnessing the power of wind and water. From rigging and hoisting the sails to controlling speed and direction, each sub-section in this guide will unlock the secrets that seasoned sailors swear by. So, get ready to tack and jibe , trim those sails just right, and experience the exhilaration of sailing a catamaran like a pro!

Rigging and Hoisting the Sails

To rig and hoist the sails on a catamaran, follow these steps:

1. Assemble the mast, boom, and rigging securely and properly aligned.

2. Attach the main halyard securely and tensioned to the head of the mainsail.

3. Attach the jib halyard properly tensioned and secured to the head of the jib sail.

4. Connect the main sheet to the boom to control the angle and tension of the mainsail.

5. Connect the jib sheets to the clew of the jib sail to control the angle and tension of the jib sail.

6. Attach the reefing lines to the mainsail, if applicable, to reduce sail area in strong winds.

7. Check all rigging and lines for proper tension and adjustments, ensuring everything is secure and aligned.

8. Raise the mainsail by pulling on the main halyard while guiding the sail up the mast, using winches or other mechanical aids if necessary.

9. Raise the jib sail by pulling on the jib halyard while guiding the sail up the forestay, using winches or other mechanical aids if needed.

10. Adjust the main sheet and jib sheets to achieve the desired sail shape and trim for optimal boat performance.

Rigging and hoisting the sails on a catamaran is crucial for a smooth and exhilarating sailing experience. By following these steps, you can confidently prepare your catamaran for sailing adventures.

Now, let’s appreciate the history of rigging and hoisting sails. Sailing has been a vital mode of transportation and exploration for centuries. The technique of rigging and hoisting sails has evolved from simple square sails to more efficient and versatile fore-and-aft sails used on catamarans. Today, catamarans are equipped with advanced rigging systems and modern materials that enhance speed and maneuverability. Rigging and hoisting sails remain a vital skill for sailors, connecting us to our seafaring ancestors and enabling exploration of the world’s oceans with grace and agility.

Tacking and Jibing

Tacking and jibing are essential maneuvers when sailing a catamaran. These techniques allow you to change direction and make the most of the wind. Consider these key points:

• Tacking: This maneuver is used to sail against the wind. Turn the bow of the boat through the wind to switch the sails to the opposite side. This allows you to zigzag towards your destination.
• Jibing: Use this maneuver to change direction with the wind at your back. Turn the stern of the catamaran through the wind to move the mainsail to the other side. Control the boom to prevent dangerous swinging.
• Preparation: Before tacking or jibing, ensure that the crew is aware and in a safe position for stability during the turn.
• Wind direction: Success with tacking and jibing depends on understanding the wind. Assess the wind and plan your maneuvers accordingly.
• Practice: Perfecting tacking and jibing requires practice. Start with gentle maneuvers in light wind conditions and gradually progress with experience.

During a sailing race, a crew utilized their knowledge of wind patterns and executed a flawless maneuver by tacking right before the finish line. This tactical advantage secured their victory.

Trimming the Sails

Sailing a catamaran requires mastering the skill of trimming the sails . Properly trimmed sails greatly impact the catamaran’s performance and maneuverability. Here are some important considerations for sail trimming:

1. Adjusting the tension: Properly adjusting the tension on the sails is vital for achieving the desired shape and angle. The main sail should have a slight curvature called camber , which generates lift and power. Trim the jib sail to maintain smooth airflow on both sides.

2. Controlling the angle: The angle of the sails in relation to the wind direction is crucial for maintaining optimal speed. Adjust the sheets to trim the sails closer or further from the wind based on sailing conditions and desired speed.

3. Monitoring the telltales: Telltales , small yarn or ribbon pieces attached to the sails, provide valuable airflow information and indicate proper sail trimming. Continuously observe the telltales to ensure smooth and even flow.

4. Reefing: In strong winds, reducing the size of the sails through reefing is necessary to maintain stability and control. Follow the manufacturer’s guidelines for reefing and ensure proper securing of the sails.

5. Constant adjustment: Sail trimming requires constant attention. Continuously monitor wind conditions and make necessary adjustments to optimize performance and maintain control.

Mastering the art of sail trimming leads to smoother sailing, improved speed, and enhanced overall performance on a catamaran. Practice and experience are essential for developing this skill, so head out to the water and start honing your sail trimming abilities.

Controlling Speed and Direction

To effectively control the speed and direction of a catamaran, it is important to follow these steps:

1. Sail Adjustment: Optimize the power and speed of the catamaran by trimming the sails. Utilize the mainsail and jib sheets to manipulate the sail angle, taking into account the wind direction.

2. Utilize the Traveler: Fine-tune the speed and stability by adjusting the traveler. This tool, located across the cockpit, allows you to modify the mainsail sheeting point and control the angle of the mainsail.

3. Sail Plan Modification: Alter the sail plan as necessary to either increase or decrease speed. Reef the sails in strong winds to reduce the sail area, and unreef them in light winds to allow for greater sail area.

4. Daggerboard Adjustment: Maintain stability and control the direction of the catamaran by raising or lowering the daggerboards. These adjustments contribute to achieving balance and maneuverability.

5. Rudder Tweaking: Make slight adjustments to the rudder angle using the tiller or wheel, ensuring smooth steering of the boat.

Pro-tip: Enhance your ability to control speed and direction on a catamaran through practice and experience. Continuously monitor wind conditions and make minor adjustments to optimize performance.

Catamaran Maneuvers and Handling

Get ready to conquer the waters as we dive into the art of sailing a catamaran. In this section, we’ll navigate through the thrilling aspects of docking and undocking , the essentials of mooring and anchoring , and the crucial skill of man overboard recovery . Brace yourself for a wave of practical tips and tricks that will enhance your catamaran sailing experience. So, grab your compass, adjust your sails, and let’s set sail on this exciting journey!

Docking and Undocking

Docking and undocking a catamaran can be daunting, but with the right techniques and precautions, it can be done smoothly. Follow these steps:

• Approach the dock slowly, keeping an eye on the wind and current.
• Assign crew members to handle lines and fenders for a safe docking process.
• Shift into reverse as you near the dock to slow down.
• Turn the helm to steer the catamaran parallel to the dock as you stop.
• Have crew members ready with fenders to protect the catamaran.
• Engage reverse to back closer to the dock, using brief forward bursts to maneuver if needed.
• Once close, crew members should step off the catamaran with lines to secure it to the dock.
• Secure the catamaran using docking lines , ensuring they are properly fastened and have enough slack.

True story: One summer, while docking our catamaran in a busy marina, a strong gust of wind made our docking process challenging. Thanks to our crew’s quick reflexes and knowledge, we maneuvered the catamaran safely and secured it to the dock without damage. It was a valuable lesson in being prepared for unexpected situations while docking and undocking a catamaran.

Mooring and Anchoring

Mooring and anchoring are integral skills when sailing a catamaran. It is important to consider several key points when engaging in these activities. Make sure to choose the appropriate anchor that matches the type of seabed you will be navigating. Inspect the anchor line thoroughly to ensure it is in good condition and securely attached. Next, carefully select a mooring spot in a protected area that offers solid holding ground. When approaching the mooring, take into account factors such as wind and current, and proceed slowly. To secure the boat, use mooring lines that are connected to cleats or deck fittings. Safeguard your boat from potential damage by utilizing fenders . Prioritizing safety and accounting for your boat’s unique conditions and requirements is crucial. By practicing these techniques, you can enhance your proficiency and guarantee a safe and enjoyable sailing experience.

Man Overboard Recovery

• Assess the situation: When facing a man overboard situation, it is important to stay calm and promptly evaluate the circumstances. Take into account the distance between the catamaran and the individual in the water, as well as any nearby hazards or obstacles.
• Alert the crew: Immediately inform the other crew members about the man overboard incident. This ensures that everyone is informed and prepared to provide assistance.
• Initiate the man overboard recovery process: Throw a life buoy or any floating object towards the person in the water, offering them something to hold onto. This will help keep them afloat during the recovery process.
• Turn the catamaran: Skillfully maneuver the catamaran to create a controlled loop or figure eight pattern around the individual in the water. This will slow down the vessel and facilitate their retrieval.
• Bring the person back on board: Once the catamaran is properly positioned, utilize a ladder, swim platform, or any available means to assist in bringing the person back on board. Assign crew members to provide support and ensure the individual’s safety throughout the recovery process.
• Monitor and provide medical assistance: After the person is safely back on board, promptly evaluate their condition and administer any necessary medical attention. Check for injuries, monitor vital signs, and administer first aid if needed.

Pro-tip: Conduct regular man overboard drills and practice recovery procedures with your crew to ensure that everyone is familiar with their respective roles and responsibilities. This will help reduce response time and enhance the likelihood of successfully recovering individuals in emergency situations.

Safety Tips for Sailing a Catamaran

Discover essential safety tips when sailing a catamaran in this section. From understanding right of way rules to dealing with rough seas and heavy winds, you’ll learn how to navigate challenging conditions with confidence. We’ll explore techniques for maintaining balance and stability, ensuring a smooth and secure sailing experience. So hop aboard and let’s dive into the world of catamaran sailing safety !

Understanding Right of Way Rules

Understanding Right of Way Rules is crucial for safe sailing. Follow these guidelines:

1. Sailboats have the right of way over powerboats. Be aware of your surroundings and give way to any sailboats in your path.

2. When encountering a vessel on your starboard side, yield and give them the right of way. Alter your course slightly to avoid a potential collision.

3. When overtaking another vessel, keep a safe distance and give them the right of way. Maintain a slow and steady speed to avoid creating a dangerous situation.

4. In narrow channels or crowded areas, vessels going uphill or against the current have the right of way. Yield to any vessels navigating in these challenging conditions.

5. Always be cautious and maintain a safe speed when crossing paths with other vessels. Slow down if necessary to ensure a safe passage.

By understanding and adhering to right of way rules, you can navigate the waters confidently and reduce the risk of accidents. Remember, safety should always be the top priority when sailing a catamaran.

Dealing with Rough Seas and Heavy Winds

Dealing with rough seas and heavy winds is crucial when sailing a catamaran. Here are tips to navigate challenging conditions:

1. Check the weather forecast before setting off. If rough seas and heavy winds are expected, consider delaying your trip or changing your route.

2. Ensure all crew members wear appropriate safety gear, such as life jackets and harnesses. Secure loose items on the deck.

3. Maintain a steady speed when encountering rough seas to keep the boat stable. Avoid sudden changes in direction or speed.

4. Adjust your sails by reefing to maintain control and prevent overpowering by strong winds.

5. Be cautious when navigating large waves. Approach them at a slight angle to minimize the risk of capsizing. Maintain a firm grip on the helm.

6. Be aware of the sea state. Avoid crossing large waves head-on; instead, cross them diagonally or at a slight angle.

7. Communicate effectively with your crew. Assign roles and responsibilities to ensure everyone is working together for safety and control.

In rough seas and heavy winds, safety should be the top priority. Stay alert, remain calm, and rely on your training and experience.

Pro-tip: Consider advanced sailing courses or consulting experienced sailors to enhance your skills and confidence in dealing with rough seas and heavy winds.

Maintaining Balance and Stability

Maintaining balance and stability is absolutely crucial when sailing a catamaran. It is important to ensure that weight is evenly distributed on both sides of the catamaran in order to achieve stability .

One way to accomplish this is by having passengers and crew members move to the opposite side when the wind picks up. Another key aspect of maintaining balance is properly trimming the sails to adjust their angle in response to wind changes. This helps to prevent excessive heeling and ensures stability .

Paying attention to the centerboards can greatly enhance stability . Deploying the centerboards can counterbalance the force of the wind and prevent tipping over.

Steering also plays a significant role in maintaining balance. It is crucial to steer steadily and in a controlled manner in order to keep the catamaran on course and avoid any imbalance.

It is important to be aware of weather conditions and understand how they can impact stability . When faced with heavy winds and rough seas, it is essential to adjust sailing techniques accordingly and make any necessary adjustments to maintain balance and stability .

Some Facts About How To Sail Catamaran:

• ✅ Sailing a catamaran requires adjusting to the different motion and sail trimming compared to monohull sailboats.
• ✅ Catamarans provide more space and stability compared to traditional monohull sailboats.
• ✅ Catamarans do not heel like monohulls, providing a less tiring sailing experience.
• ✅ Catamarans can sail in shallower places and prevent rolling in anchorage due to their lower drafts.
• ✅ The American Sailing Association (ASA) offers a specific course, ASA 114: Cruising Catamaran, to provide practical sailing skills and confidence when sailing a catamaran.

Frequently Asked Questions

1. how do i sail a catamaran.

Sailing a catamaran involves adjusting to its different motion and sail trimming compared to monohulls. You’ll need to take a sailing course or gather practical sailing skills to ensure confidence and enjoyment while sailing a catamaran. The American Sailing Association (ASA) offers the ASA 114: Cruising Catamaran course designed specifically for individuals with monohull cruising experience transitioning to catamarans.

2. What are the advantages of sailing a catamaran?

Catamarans offer numerous advantages over monohulls. They are more spacious, providing larger living areas above decks and expansive cabins located in the hulls. Catamarans are incredibly stable, making them ideal for longer voyages and providing maximum comfort and relaxation. They also have lower drafts, allowing navigation in shallow reef passages and anchoring closer to shore. Catamarans do not heel like monohulls, providing a more comfortable and less tiring sailing experience.

3. How can I charter a catamaran from The Moorings?

The Moorings offers innovative and top-quality catamarans for sailing vacations. To charter a catamaran from The Moorings, you can visit their website and access their charter resources. They are known for their exclusive access to Robertson & Caine catamarans, distinguished for their quality and comfort. There, you can find information on boat availability, reputation, and customer reviews to choose the right catamaran for your needs and preferences.

4. What is the ASA 114: Cruising Catamaran certification?

The American Sailing Association (ASA) offers the ASA 114: Cruising Catamaran certification. This certification is designed for individuals with monohull cruising experience who want to transition to catamarans. The course covers the advantages and disadvantages of multihull sailing, as well as practical sailing skills specific to catamarans. Obtaining this certification ensures that you have the necessary knowledge and skills to confidently sail a catamaran.

5. Are catamarans safe for offshore sailing?

Yes, catamarans are safe and stable for offshore sailing. They are designed to offer stability and comfort in various conditions. Catamarans have two independent hulls, making them less likely to sink completely. They also have duplicate navigation systems, including two engines and rudders, for onboard safety. Catamarans remain stable even in bad weather and do not capsize easily. Their advanced design and safety features make them a reliable choice for offshore sailing.

6. Can I sail a catamaran without previous sailing experience?

Sailing a catamaran without previous sailing experience is not recommended. It is essential to have some sailing knowledge and skills before attempting to sail a catamaran. Taking a sailing course, such as the ASA 114: Cruising Catamaran course, will provide you with the necessary skills and confidence to safely operate a catamaran. Spending time onboard and obtaining a sailing diploma or certification will ensure a better understanding of catamaran sailing fundamentals.

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New horizons 3 is a 55ft sailing catamaran offering crewed yacht charters in the greek isles..

NEW HORIZONS 3 is a sailing catamaran of exceptional luxury and space, executing the perfect balance between comfort and distinction. Down an elegant flight of steps, you reach a platform that stands just above the waterline – ideal for swimmers. This can turn the whole aft area into a huge area for swimmers and sunbathers, or serve as a launch pad for divers and watersports.

The aft cockpit offers an incredible entertaining space with multiple sunbeds and a very large dining table. The large forward cockpit has trampolines to balance the aft relaxation area. A perfect area to enjoy, relax, and take in the sun. Accommodations are for 10 in 3 queen cabins and 1 twin cabin all with private facilities

The flybridge has sunbeds that provide a convivial spot for a big group of friends, or the whole family.

*For Rates, see the PRICING  Tab below –  Holiday weeks may differ, please enquire!

CAPTAIN VASSILIKI

Vassiliki joined New Horizons Yachting Co. this year and has had over 10 years of experience on board mono-hulls and catamarans. She was born and raised in a mariner’s world. Daughter of a fisherman and sailing with her younger brothers, she got familiar with Greek coasts and the ways of sea from a very young age. While her mind and spirit were with teaching and helping those in need, her heart remained at sea. In her late twenties, she decided to change direction in life. With initial knowledge and experience coming from her upbringing, she devoted all her resources to obtaining the necessary professional certifications and building miles on the high seas. Her certifications include RYA Yacht Master Ocean, ENG1, STCW 95’, RYA Gmdss, powerboat license, Greek Seaman Book, Greek Offshore Sailing license, PADI Certified, RYA A’Aids Certificate, A’Aids and CPR. As a Greek woman, with the added training to tend to persons in need, she is warm-hearted, caretaking, and authentically hospitable. Lively in her discussions, discreet in her ways, serious with procedures, and full of positive vibes. Born in 1986 and speaks fluent English. Her hobbies include traveling, hiking, diving, and photography.

DECKHAND/STEWARD TBA

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The fine points

Availability, holiday offers.

Please note that Holiday rates are subject to change.

Christmas week: Please inquire

New Year week: Please inquire

PRICE INCLUDES:

• The charter rate shown includes the use of the charter yacht, professional crew, and onboard equipment
• Water Sports gear and activities
• Air Conditioning

PRICE DOES NOT INCLUDE:

• VAT and taxes
• All other daily expenses will be covered with an Advanced Provisioning Allowance (APA) . This is typically 20%-40% of the charter fee, which can vary according to the yacht type, itinerary, and possible charter requests and requirements. The APA payment is collected with the final balance
• APA expenses include fuel for both the yacht and tender, provisions, marina fees, moorings, airport transfers, cruising permits, canal fees, scuba diving, onshore excursions, electronic communications, and local taxes
• Your yacht will be fully fuelled and provisioned, according to your preferences, when you step onboard. The Captain will keep all receipts, along with a running log of expenses, which can be viewed at any time during your charter
• Any APA that has not been spent will be returned to you at the end of the charter. If expenses exceed the APA during your charter, additional funds will need to be submitted. Your captain will update and advise you if any further payment is required. This will need to be paid before you disembark
• Crew Gratuity is separate and is typically 10%-15% of the charter rate. This should be given to your captain at the end of your charter

Highlighted dates are booked, on hold, or unavailable. We may be able to challenge the dates on hold. Please contact us for details. All other dates not highlighted are available. You can use the arrow icons to navigate through the months.

Dates Color Key If no color is noted on calendar or in the detailed list below, the dates are available for your charter

• Booked (Booked by another client group already)
• Hold (Held by another client group, not yet booked, and can be challenged)
• Unavailable (Blocked out by the Owner and unavailable to challenge)
• Air conditioning and fans
• Swim platforms
• Heated deck showers
• WiFi internet access
• Cockpit and flybridge speakers
• Robes/Slippers/Toiletries
• Christofle Silverware
• American Fridge
• Separate Hydromassage Shower in Master Stateroom
• Tender Highfield CL380 / Mercury 40hp upgraded
• Adult Waterskiing & Wakeboard
• SEAWING II Sea scooter 2023
• Adult and children’s Skis
• Snorkeling equipment

SPECIFICATIONS

• Model: Catana S.A
• Beam: 28.6′
• Engines: 2 x 80hp Yanmar
• Flag: Greece

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We enjoyed ourselves immensely. The crew were so welcoming and professional. The food was wonderful. Thank you so much for making my 39th wedding anniversary so special - complete with cake and sparkling candles. See you next time.

To the great crew of new horizon three, we could not have wished for a better two weeks. It was our first family vacation on a boat and you made it unforgettable. Chef your food was so good we want to bring you back home with us! Captain you made these two weeks work smoothly and showed us the best of the Ionian Sea. We will miss you and will keep this experience in our hearts forever.

Here is what the children wrote: I am going to miss this experience and Greece. I loved the wake boarding. Thanks for the amazing food. Definitely one of the best journeys of my life. I have seen really beautiful places with you. You were always there for us, without you this vacation wouldn’t be so relaxing, it was an amazing experience. I swam with a turtle and now I can do water skiing and wake boarding. Thank you. This is the best journey of my life. Thank you for the good food and kindness. Thank you, Captain for the water ski and sailing. This was an amazing trip. The food was very nice we enjoy the beautiful clear water. The crew was very friendly. I’m going to miss it.

You gave us six unforgettable days. An amazing experience, once in a lifetime. We had the pleasure of tasting the best food ever served on a boat. What a joy! At a flick of God’s switch, we were served like kings and queens, spoilt like Christmas children. We navigated through breathtaking scenery, at a safe and a relaxing pace. Your hospitality on the New Horizon 3 was far beyond expectations. From all of us, thank you very much!

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